Voici tous les prénoms de filles et de garçons qui vont être les plus populaires en 2023 !
L’Officiel des prénoms, la Bible des futurs parents vient de publier une 20ᵉ édition aux éditions First. Voici son palmarès des prénoms de filles et de garçons qui seront populaires en 2023 !
Les prénoms de filles et de garçons populaires en 2023 dans l’hexagone
« Comment allons-nous l’appeler ? ». C’est une question qui suscite souvent la zizanie chez les futurs parents. Il y a ceux qui optent pour des prénoms populaires traditionnels, peut-être ceux des grands-parents. Tandis qu’il y a ceux qui préfèrent des prénoms à la mode, des prénoms étrangers ou des prénoms très particuliers. Ce qui est certain, c’est que chaque époque a ses tendances. « L’Officiel des prénoms » vient de sortir une nouvelle édition. Ce guide de référence prévoit les prénoms de filles et de garçons qui seront populaires en 2023. D’après des statistiques annuelles de l’Insee, Jade et Gabriel arrivent en tête. Ils sont suivis de près par Louise et Léo. Ambre, Emma, Alice ou encore Arthur, Louis et Jules sont encore en vogue.
La tendance des courts
Comme vous pouvez le constater, la médaille de bronze pour Emma ! En effet, ce prénom n’a pas retrouvé sa première place. Après avoir dominé pendant 16 ans dans le classement des prénoms populaires donnés aux filles, Emma est passée à la seconde place pour le palmarès 2022. Et selon la nouvelle édition de L’Officiel des prénoms 2023, Emma chute à nouveau d’une place. Le point commun entre les prénoms de filles et de garçons les plus populaires pour l’année 2023 : leur taille. « Le court continue d’être une composante majeure du succès. On n’a jamais vu autant de prénoms d’une syllabe (Louis, Liam, Jules et Paul) ou de trois à quatre lettres (Léo, Noé Maël) briller à ce point dans les vingt premiers rangs chez les garçons. », expliquent les deux auteurs Stéphanie Rapoport et Claire Tabarly.
Même constat pour les filles : « les prénoms-stars continuent de donner le « la » avec une à deux syllabes et cinq lettres en moyenne (…). Les terminaisons en « a » (Emma, Léa, Mila et Léna) apparues en force au début des années 2000, poursuivent leur reflux. », déclarent les deux auteurs