Une nouvelle réforme des retraites qui va provoquer sans aucun doute un chaos social à la rentrée !

Selon le discours du Premier ministre Elisabeth Borne, cette nouvelle réforme sur la retraite sera en vigueur en juillet prochain. D’un côté, les retraités en sont ravis mais les salariés, eux, sont pour le moins frustrés par une décision aussi radicale. 

Une nouvelle réforme des retraites en France

Le gouvernement Macron a pris des initiatives de réforme soudaines sans analyser correctement les conséquences de ces décisions. Ces initiatives s’inscrivent dans le cadre  de la nouvelle loi sur le pouvoir d’achat. Elle sera évaluée par l’assemblée nationale dans les prochains jours. L’une d’entre elles est l’indexation des pensions ! En effet, Elisabeth Borne avait annoncé que la nouvelle réforme des retraites concernait sa revalorisation. Cela pourrait atteindre les 4 % . Bien évidemment, les personnes âgées apprécient cet effort de l’Etat. Mais de l’autre côté, cette décision fait jaser les salariés. Ils estiment que ce projet de loi est suicidaire pour l’économie actuelle.

Le directeur de la CFDT, Laurent Berger, craint un bouleversement social 

Depuis que le projet de loi sur la nouvelle réforme des retraites a été soumis au public, Laurent Berger s’y est fortement opposé. Selon lui, cette situation pourrait conduire à un chaos social. Premièrement, le budget de l’Etat ne pourra pas durer indéfiniment avec cette nouvelle réforme. Ensuite, cela provoquera une manifestation et des grèves  des salariés car la revalorisation salariale n’a jamais atteint de telles extrêmes. En plus, le leader de la CFDT trouve cette nouvelle réforme des retraites absurdes vu le report de l’arrêt de travail à 65 ans. Et pour cause ! Cela provoquera des problèmes sur la perception ou non du taux plein.

Et pour ne pas nous rassurer, Laurent Berger craint que cette décision montre ses premiers effets secondaires en septembre 2023. Et cela poussera les représentants de l’Etat ainsi que tous les principaux concernés par cette décision à revenir à la charge. Par conséquent, ils seront obligés de rouvrir les discussions sur les retraites. Affaire à suivre …