Les bagarres dans les cours d’école sont des choses qui arrivent. Certains de ces événements finisse même avec de graves blessures. C’est ce qui s’est passé dans le lycée de l’Essonne. La ministre de l’Education nationale pointe du doigt cet incident.
Un élève frappé à coups de marteau dans un lycée de l’Essonne : une situation alarmante
La violence est devenue monnaie courante dans la société d’aujourd’hui et c’est loin d’évoluer. Un cas de plus a eu lieu dans un lycée de l’Essonne avec un élève violenté avec des coups de marteau sur la tête. Un evenement qui s’est produit dans l’enceinte du collège Rosa-Parks, une institution d’enseignement située dans une région pauvre. Cette violence a été orchestré sous l’œil attentif de 3000 étudiants.
La vidéo de l’incident a fini en très peu de temps sur Instagram. On pouvait y voir des adolescents en train de se battre. Une bagarre qui s’est soldé par deux garçons hospitalisés. D’ailleurs, l’un a reçu de sérieux coups de marteau sur la tête tandis que l’autre a été frappé avec des béquilles. La vidéo met en avant comment un jeune homme de Kaliningrad frappe à coups de poing un garçon allongé à terre sous les cris de ses amis. Ensuite, il a eu droit à un coup sur sa tete avec un marteau. Un geste qui a choqué tous ceux qui ont eu accès a cette vidéo. Bien évidemment, suite à ces actes de violence une enquête a été immédiatement ouverte.
Réaction des autorités et sécurisation de l’établissement
Cette fois encore, les autorités locales sont intervenues à temps pour que ça ne dégénère pas encore plus. De son côté, la ministre de l’Éducation nationale a fermement condamné l’attaque. En même temps, elle affirme que les images de l’attaque sont « inacceptables ». Dans ce genre de cas, la sécurité des élèves et des personnels est vraiment primordiale. Voilà pourquoi brigade régionale de sécurité a pris les choses en main. Une manière pour maintenir une sécurité renforcée 24h/24.
Par ailleurs, la maire, Sylvie Carillon, a rappelé l’importance des caméras de vidéosurveillance autour du lycée. Ce dispositif permet en effet de signaler immédiatement la situation à la police nationale et municipale, qui peut alors intervenir directement. Pourtant ce drame prouve que des actions complémentaires sont tout de même nécessaires. Cela permet d’interrompre ce genre de violence au quotidien dans ce type d’environnement scolaire.
La préfète de l’Essonne, Frédérique Camilleri, a elle aussi maintenant réagi, affirmant que des équipes spécialisées de l’Éducation nationale ont été mobilisées. De la sorte que, chez les élèves et les personnes sensibles traumatisés par ces faits, un accompagnement spécifique sera mis en œuvre, et qu’en outre un dispositif de sécurisation renforcé autour du lycée sera maintenu, pendant quelques jours encore. Malheureusement, l’exemple de cet écolier battu à coups de marteau dans le lycée de l’Essonne est totalement symbolique, en ce qu’il ne peut tout simplement plus être exclu ardemment par l’augmentation de la violence scolaire en France, un problème pour lequel une réponse préventive et répressive est notamment possible. J’espère que cet événement tragique représentera un électrochoc cher quant à traiter ces faits de violence extrême, et que des solutions pérennes seront mises en œuvre de manière expéditive afin de parer à tout risque de reproductions.