A chaque nouvelle année, le Président de la République a pris l’habitude de prononcer ses vœux et il l’a aussi fait pour cette nouvelle année 2023. Son discours a été beaucoup plus long que les précédents. Il a duré 18 minutes et 30 secondes. On vous dit tout ce qu’il faut retenir dans cet article.
Les vœux du Président Emmanuel Macron pour 2023
Le Président de la République a commencé son discours par le bilan de l’année 2022. Plus précisément, sur le coronavirus, le conflit qui a éclaté en Europe, l’inflation et les pénuries. L’année dernière n’a pas été de tout repos pour les Français. Ensuite, après ce bilan, Emmanuel Macron a prononcé ses vœux pour 2023. Il a dit comment il voit les choses pour cette nouvelle année. « Je crois que cette année 2023 est d’abord une année de questions que je sais préoccupantes et de crises à affronter. Si nous faisons ce que nous faisons depuis des mois, si nous continuons à réactiver nos réacteurs nucléaires, nous y arriverons ». Son objectif est de rebâtir la France. Ses vœux pour tous les Français sont l’unité, l’audace et l’ambition collective.
La réforme des retraites sera pour cette année
Le Président Emmanuel Macron a continué son discours de vœux pour 2023 en parlant de la réforme des retraites. « L’objectif sera d’assurer l’équilibre de notre système pour les années et les décennies à venir ». En outre, il n’a pas oublié de mentionner l’écologie. Ainsi, il a fait une promesse sur la mise en avant de l’innovation. Et il a ajouté que la transition écologique se fera plus rapidement grâce aux lois sur le nucléaire et les énergies renouvelables. « Avec le plan France 2030, nous allons continuer à investir et à innover. Et après la loi sur les énergies renouvelables, la loi sur le nucléaire marquera le lancement de nouvelles centrales sur notre territoire ». Malheureusement, les vœux d’Emmanuel Macron pour 2023 n’ont pas convaincu tout le monde. C’est le cas de Bruno Retailleau, chef de file des Républicains au Sénat et Marine Tondelier, secrétaire nationale du parti EELV. Pour eux, le président est déconnecté de la réalité.