Sylvie Vartan fait des terribles confidences sur son enfance, « C’était horrible »
Tout le monde n’aurait jamais imaginé qu’une personnalité comme Sylvie Vartan a vécu une enfance difficile. Ni les autres personnalités d’ailleurs. Avec leur fortune, on a souvent tendance à penser qu’elles ont une belle vie. Cependant, les célébrités peuvent aussi traverser des moments sombres. Sylvie Vartan se confie sur son passé.
« Chers grands-parents » de Nathalie Levy
« Chers grands-parents » est un livre écrit par Nathalie Levy. Dans ce livre, 37 personnalités se confient sur leurs souvenirs d’enfance avec leurs grands-parents. Sylvie Vartan en fait partie. La grande chanteuse y raconte son enfance sous le régime stalinien en Bulgarie et son déchirant départ de son pays d’origine. En effet, elle a dû partir précipitamment en France au début des années 1950. Ce qui l’a affecté le plus est qu’elle n’a pas pu dire au revoir à son grand-père. Il s’appelle Robert et il est très proche de sa petite fille. Le souvenir de son grand-père qui disparaissait au loin reste ancré dans sa mémoire. « C’est là que tout a basculé, en fait », a-t-elle confié. Ce livre de Nathalie Levy sera publié le 22 février prochain. Ce dernier rappelle l’importance des grands-parents aux yeux de leurs petits-enfants. En outre, il met en lumière ce lien indélébile entre chaque génération dans une famille.
Sylvie Vartan : une enfance tragique
Ce départ de Sylvie Vartan a marqué la fin de son enfance et restera à jamais dans sa mémoire. Ce qui a été le plus terrible pour la chanteuse est que son grand-père n’a jamais pu la rejoindre à Paris. Et pour cause, il est décédé avant que les procédures pour émigrer aient été finies. Cette perte a été très douloureuse car sa présence est très importante pour elle. En effet, elle avait l’habitude de se réfugier dans le jardin paisible de son grand-père, lorsqu’elle traversait des moments difficiles. Par ailleurs, elle a eu des difficultés, notamment au niveau de la langue quand elle est arrivée en France. Cependant, elle a quand même réussi à s’adapter. Elle garde en souvenir les moments de bonheur qu’elle a passés avec son grand-père.