Réforme de retraites : les dates des nouvelles grèves dans les prochains mois
Les dates des grèves engendrées par la reforme de retraites viennent d’être annoncer. Dans les prochaines semaines, les syndicats veulent mener un mouvement de la foule pour les prochaines semaines. Le gouvernement a aussi son propre calendrier sur ce projet de réforme de retraites.
Un peuple mis à mal
Le projet de loi sur la réforme des retraites va entrer en vigueur à partir du 1er septembre 2023. En effet, depuis la mobilisation du 19 janvier dernier, une nouvelle grève va être entamé à cause de la réforme des retraites. Par conséquent, une nouvelle mobilisation va avoir lieu le 31 janvier 2023. D’ailleurs, plusieurs corps de métiers ont fait part des grèves au fil de l’avancée du projet de loi. Par conséquent, ces grèves du a la réforme des retraites impacteront les syndicats de médecins libéraux. Ces derniers ont fait part d’une nouvelle journée de mobilisation le mardi 14 février 2023. Ainsi, il y aura la fermeture des cabinets. Il en est de même pour la SNCF qui a émis un préavis de grève court du mercredi 25 janvier 19 heures au jeudi 2 février, 8 heures. La CGT Cheminots et SUD-Rail ont proposé mardi une grève reconductible « dès la mi-février ». Cependant, il y aura aussi une grève générale ce mardi 31 janvier 2023. Ainsi, ce sera, une seconde journée interprofessionnelle de grève et de manifestation dans la fonction publique et le secteur privé.
Les dates des grèves suite au projet de la réforme des retraites
Les grèves sont un moyen pour les travailleurs d’exprimer qu’ils ne veulent en aucun cas de cette réforme des retraites. Effectivement, la centrale syndicale des pétroliers le 6 février va entamer un mouvement pour 72 heures. Il va notamment commencer le 8 février avec d’éventuels nouveaux débrayages « avec si nécessaire, l’arrêt des installations de raffinage ». Toutefois, de son côté, la SNCF va aussi entamer une grève contre la réforme des retraites le 7 février avec une durée de 48 heures. La grève sera « reconductible par périodes de 24 heures dès la mi-février », envisagent les représentants cheminots.