De passage sur RTL dans Les auditeurs ont la parole, Jean Lassalle, affirme que le vaccin contre le Covid-19 a « abîmé le cœur ».
Les révélations de Jean Lassalle sur le vaccin
Dans quelques jours, les Français passeront à l’urne pour élire leur futur président. Ainsi, depuis quelques jours, les candidats à l’élection présidentielle multiplient leurs apparitions dans les médias. Il faut dire que l’agenda est plus que chargé pour les prétendants au poste de chef d’État.
Bien que le rythme soit un peu compliqué, Jean Lassalle s’y met à cœur joie. D’ailleurs, de passage sur RTL le vendredi 11 février dans Les auditeur ont la parole, le candidat de Résistons ! a fait une déclaration surprenante. En effet, il a évoqué son statut vaccinal. L’occasion pour le candidat à l’élection présidentielle d’affirmer que le vaccin lui a « abîmé le cœur ».
Face à Pascal Praud, Jean Lassalle a confié s’être fait vacciner à l’Assemblée nationale avec le vaccin Johnson et Johnson. Ainsi, face aux polémiques sur les éventuelles conséquences que le sérum pouvait avoir sur l’organisme, il a décidé de demander l’avis des experts. Il explique ainsi : « J’ai des médecins qui s’interrogent sur le fait de savoir si cela n’a pas abîmé mon cœur ». L’occasion pour l’animateur de demander à son invité sur son schéma vaccinal. Il affirme : « J’ai eu une dose qui devait être unique au mois de juillet parce que je me suis fait vacciner à l’Assemblée nationale ». Quant aux doses de rappel, le politicien indique avoir reçu « du Moderna ». Une décision que Jean Lassalle semble avoir fait à contrecœur. « Je ne l’ai pas fait pour servir de modèle, je l’ai fait parce que je suis député », lance-t-il sur RTL.
Place au coup de gueule !
Mais alors que le politicien de 66 ans est bas dans les sondages, il s’est attaqué aux journalistes, ce vendredi 1er avril. Convié par Apolline de Malherbe sur BFMTV/RMC, il a accusé ces derniers d’avoir ruiné sa campagne électorale. Pire, il s’en est pris à la présentatrice à elle-même en direct. Visiblement furax, il a balancé : « Cette campagne est pourrie, pour une fois pas par les politiques parce qu’on savait qu’ils étaient d’une lâcheté crasse, et j’en fais partie, mais on ne savait pas que les journalistes l’étaient autant, lâches ».