Actuellement, on peut payer jusqu’à 50 € avec le paiement sans contact. Chose qui va prochainement changer grâce au PIN Online. Avec ce dernier, il va être possible de payer sans contact au-delà du plafond actuel.
Le mode de paiement révolutionne
En 2021, 57 % des paiements sont faits via un paiement sans contact. Un excellent moyen de ne pas être au contact avec les microbes et les bactéries durant la pandémie du Coronavirus. Pour faire ce genre de paiement, il suffit de poser sa carte bleue sur le lecteur de carte sans avoir à insérer la carte. La somme maximum pour ce paiement est de 50 €. Au-delà de ce chiffre, les clients doivent insérer leur carte et saisir leur code PIN. Avec l’arrivée du PIN Online, le plafond du paiement par carte sans contact va augmenter.
Le PIN Online est un système de paiement hybride entre le paiement classique et le paiement sans contact. Il n’est pas nécessaire d’insérer sa carte, mais il faut tout de même insérer son code secret. En dessous de 50 euros, le paiement sans contact se fait normalement. Si on dépasse le plafond, un code personnel à quatre chiffres sera demandé sans insérer sa carte. Pour cela, il faut mettre la carte sur le terminal et composer son code. Un système qui va faciliter la vie de bon nombre de personnes. Le PIN Online va aussi limiter les bugs du style « abandon débit » qui est très fréquent lors des paiements sans contact. Il y aura aussi plus de fluidité durant un paiement.
Le Pin Online déjà présent en France
Vraisemblablement, le PIN Online est déjà présent en France. Depuis le 25 février dernier, ce système est utilisé dans bon nombre d’endroits comme dans la Banque Postale, en partenariat avec deux Fintech françaises. Ce dernier a développé cette solution pour les taxis G7. Par conséquent, quand on est dans des taxis de la capitale, il est possible pour les clients de payer sans contact. Cela est toujours valable même pour les courses dépassant le plafond de 50 €. Cette technique va venir en hexagone dans quelques mois après outre-Rhin ou l’Allemagne.
