Au-delà de ses 91 ans, le célèbre animateur Philippe Bouvard est à bout de souffle. Les séquelles de sa maladie lui font vivre le martyre. Détails.
Philippe Bouvard, à bout d’énergie !
Philippe Bouvard n’est plus que l’ombre de lui-même. En effet, âgé de 91 ans, il n’a plus d’énergie au point de rester reclus dans son « penthouse au huitième étage d’un immeuble » situé sur les hauteurs de Cannes. Coup de blues ou dépression ? En tout cas, il confie qu’il ne sort presque plus de chez lui. D’ailleurs, il souffre encore des séquelles de sa maladie. Il faut avouer qu’il est loin d’être au top de sa forme.
En effet, la vue de Philippe Bouvard s’est dégradée au fil du temps. Lors d’un entretien, il confie : « Comme ma vue s’est détériorée, je dois lire les journaux tous les jours. Je ne regarde jamais la télévision. Et pour cause, les images ne m’intéressent pas », explique-t-il avec un geste de la main. Pour cela, l’animateur préfère apprécier le spectacle de la grande mer bleue qui se trouve devant sa propriété. D’ailleurs, il ne se lasse jamais de le voir.
Il en est de même pour son audition. Au fil des années, cette dernière est devenue de moins en moins perceptible. Pourtant, Philippe Bouvard passe la plupart de son temps à écouter les informations. « La radio est toujours allumée à la maison », indique-t-il. Même cloche de son concernant l’odorat et le goût. Effectivement, ils ont été fortement affectés par le Covid-19 qu’il avoue avoir contracté en jouant au casino. Ce dernier est l’une de ses passions. Un « vice », dont il pensait pouvoir s’en débarrasser une bonne fois pour toutes.
Une férue du travail
Dans son soixante-huitième livre, Philippe Bouvard révèle qu’il a passé deux semaines isolées dans sa chambre sans avoir reçu une visite outre celle de « Toutou, mon cher compagnon ». En effet, l’ex-animateur des Grosses Têtes sur RTL et ancien directeur de France Soir souffre aujourd’hui des séquelles de sa maladie. Quant à sa récupération, si l’odorant est en passe de revenir, le goût, quant à lui, est encore incertain. C’est pourquoi il ne peut pas encore jouer au gastronome, l’une de ses passions, du moins pour l’instant.
Mais ce n’est pas tout. Philippe Bouvard commence aussi à ne plus supporter les samedis et les dimanches. À cet effet, il affirme : « Le plus dur, ce sont les week-ends. Ma secrétaire n’est pas là et je m’ennuie ». Un grand bourreau de travail, il ne peut malheureusement plus travailler même s’il conserve ses deux chroniques matinales « À mon humble avis » le samedi et le dimanche sur RTL. Toutefois, elles sont enregistrées la veille depuis sa maison à Cannes.
Ainsi, l’animateur a hâte d’être le lundi matin pour aller à son bureau. L’occasion pour lui de replonger dans le travail en prenant des notes et réagissant aux sujets d’actualité pour quelques chroniques cash pour Midi Libre ou le mensuel Internet VSD. Bien évidemment, pour le plus grand bonheur de ses lecteurs à travers le monde entier.