ATTENTION Permis de conduire : les règles viennent de changer, mauvaise nouvelle pour les automobilistes

Permis de conduire :  son obtention va être faciliter grâce à un projet de loi

Avec un projet de loi, il sera plus facile de réussir son examen de permis de conduire. Un changement qui est vraiment au gout de bon nombre de Français.

Des aides importantes

Décrocher la petite carte rose présente un grand investissement financier pour bon nombre de personnes. En effet, très prochainement, il se peut que ce soit l’Etat qui finance votre examen de permis de conduire. Mais avant de passer ce dernier, il va falloir réussir le code de la route. Puis, il faut passer plusieurs heures de conduite. Ce n’est qu’après que la personne pourra se présenter devant un inspecteur. Notant qu’il y a plusieurs aides pour passer son examen de permis de conduire. Pour cela, il est possible de bénéficier du permis à un euro par jour réservé aux jeunes de 15-25 ans.  En plus, il y a aussi une aide de 500 euros pour tous les apprentis de France. « Pour bénéficier de cette aide fixée à 500 euros, il faut adresser son dossier. Au centre de formation des apprentis », peut-on lire sur le Service Public.

Un examen du permis de conduire plus facile ?

Dans les prochains mois, l’examen de permis de conduire va être facilité. Effectivement, pour que ça soit possible, Sacha Houlié propose une loi qui facilite le passage et l’obtention de la carte rose. Ainsi, il veut étendre l’utilisation du CPF à tous les types de permis. De cette manière, il crée une plateforme d’information détaillant les financements possibles. En plus, il veut « donner l’habilitation d’examinateurs à des agents publics. Ou contractuels ». « On le constate, les jeunes ne savent pas à quoi ils ont le droit », affirme Valérie Guillou, monitrice d’auto-école déléguée Unic. Bien évidemment, ce projet de loi est loin de faire l’unanimité. Pour sa part, un député de la Vienne avoue que ces dispositifs vont renforcer les inégalités. « Cela favoriserait surtout les enfants dont les parents n’en ont pas eu besoin. Donc ceux dont les parents, déjà salariés qualifiés. Et potentiellement avec des ressources », avait-il déclaré.

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