Pénurie : découvrez la liste des aliments qui ne vont plus être présents dans les rayons du supermarché en 2023

Il existe plusieurs aliments qui vont être en pénurie en cette nouvelle année 2023. Parmi ces aliments, il y en a qui ont déjà disparu des rayons des supermarchés depuis 2022. Découvrez la liste de ces produits.

Aliments en pénurie en 2023 : la viande rouge

Depuis 2022, la France comme de nombreux pays ont souffert des conditions météorologiques non favorable. En effet, les producteurs Français de viande rouge ont dû faire face à une sècheresse. Par conséquent, les animaux n’ont rien eu a brouter durant la période estivale. « Soit ils vont se séparer d’une partie de leur cheptel, soit ils vont acheter de la marchandise pour nourrir les animaux, mais il faut en avoir les moyens », affirme Pascal Lerousseau, président de la chambre d’agriculture de la Creuse. Une pénurie de viande rouge dans les prochains mois.

Le riz

Le riz fait partie des aliments qui vont être en pénurie en 2023. Effectivement, le Syndicat de la rizerie française (SRF) entrevoit aussi une éventuelle pénurie de riz dès le mois de mars. Une situation due à la sécheresse en Italie, Grèce et Espagne.

Aliments en pénurie en 2023 : le pain, les farines et les céréales

Ce genre de pénurie va impacter les plus indispensables de l’alimentation française : le pain. Il se peut que les farines et plusieurs céréales ne vont plus être présent dans les supermarchés Europe. Notant que les Ukrainiens et les Russes produisant environ 30 % des exportations mondiales de blé !

L’huile de tournesol

Le conflit en Europe de l’Est impacte grandement la production de cette huile. Ainsi, parmi les aliments touchés par la pénurie en 2023, il y aura l’huile de tournesol. Notant qu’avant cette invasion en Ukraine, ce pays offrait pas moins de 50 % de la production mondiale, en 2020.

Aliments en pénurie en 2023 : les pois chiches

La confédération internationale des légumineuses a peur d’une pénurie des pois chiches en 2023. Par conséquent, il y aura une chute de l’offre à hauteur de 20 %. Pour cette fois aussi, ce sont les mauvaises conditions météorologiques qui en est la cause.

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