Il semblerait que durant la saison estivale, la France va avoir droit à une pénurie des produits de consommation. Une situation due à la sécheresse qui a eu lieu au Canada, mais aussi aux États-Unis. Pour cela, les productions ont grandement diminué ce qui induit à une hausse des prix des matières premières. Tout cela va finir par créer une inflation et même des pénuries.
La pénurie des produits de consommation se profile
Dès qu’une rumeur est lancée sur la probable pénurie d’un produit, tout le monde se rue sur cedit produit. C’est grâce à cela que la pénurie durant la pandémie de coronavirus a été causée. Les produits de consommation de base se tendent lentement vers une pénurie ces derniers temps. Parmi ces produits, il y a les huiles. Toutefois, Myriam Qadi, responsable analytique dans le cabinet spécialisé NielsenlQ, affirme qu’il n’y a pas de pénurie d’huile. Vraisemblablement, il y a encore des stocks en magasin. De plus, elle avait parlé d’une hausse des disponibilités des produits. Chose qui est due à l’arrêt d’achat de prévision.
« Les achats de prévention ont largement diminué, les consommateurs ont peut-être compris qu’il n’y avait pas de réelle pénurie », avait confié Myriam Qadi. Bon nombre de personnes ont aussi fait du sur stockage chez eux. C’est à cause de ce genre de comportement qu’il y a pénurie des produits de consommation.
Quel lien y a-t-il entre le réchauffement planétaire et la pénurie ?
La moutarde fait aussi partie des produits de consommation qui est victime de pénurie. C’est un produit qui vient de grain de moutarde qui vient en grande partie du Canada. Mais à cause de la très grande période de sécheresse, les graines ont été grandement touchées. C’est de cette manière que le réchauffement climatique a détruit une partie des récoltes.
Pour la Bourgogne, le changement de climat n’a pu permettre que 48 % des récoltes. Mais la Bourgogne symbolise la quasi-totalité de la moutarde française. Le directeur général du fabricant de moutardes Rein et Dijon avaient fait des révélations sur ce sujet. « La région a connu un hiver très humide, puis trois jours de froid au début du mois d’avril de l’année dernière, nous n’avons donc pu récolter qu’environ 48 % de ce à quoi nous nous attendions », avait-il dévoilé. Pour ne pas faire face à une pénurie, ne cédez pas aux achats de panique.