Paul El Kharrat à la sortie de son ouvrage : star des “12 coups de midi” et collaborateur de Laurent Ruquier a cherché à mettre fin à ses jours…

Paul El Kharrat profite de la sortie de son ouvrage pour se confier comme jamais. En effet, le chouchou de Jean-Luc Reichmann vit parfois des moments difficiles. 

Paul El Kharrat sort un ouvrage et en profite pour tout dire

Dans son ouvrage, Paul El Kharrat nous emmène dans son monde. À cette occasion, l’ancien champion des 12 Coups de midi (TF1) s’est confié à nos confrères d’Ici Paris. Et il a révélé qu’il a déjà songé au pire. Dans leur édition du 19 octobre, nos confrères ont souhaité savoir si cela était simple d’être dans sa tête. « C’est tout sauf simple ! Mon cerveau est constamment en ébullition, c’est épuisant. Je me réfugie souvent dans le rêve pour échapper aux autres et à la lourdeur du monde. Parfois, ils sont sombres et j’ai déjà pensé à commettre l’irréparable », a ainsi répondu le sociétaire des Grosses têtes (RTL). 

Il a confié que durant huit jours, il a séjourné dans une clinique de repos en février dernier. « Je suis tellement entier que la fausseté de certains me blesse et engendre une violence extrême. Je suis le parangon du docteur Jekkyl et de M. Hyde. Je lutte en permanence contre ce dédoublement de la personnalité, cette dualité. Ce n’est pas parce que je souris que je suis heureux », a poursuivi le champion. C’est ainsi qu’à la sortie de son ouvrage, Paul El Kharrat a tout révélé. 

Il a du mal à se fondre dans la masse 

Il doit en outre constamment expliquer son syndrome, notamment à ses parents. Et  cela l’épuise davantage. Mais il le sait, « la moindre ‘erreur’ est sujette à des crises de nerfs, des phases d’agacement intense et une grande violence verbale ». Une situation qui fait souffrir tout le monde. « Mais ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’ils en souffrent moins que moi », a-t-il précisé. Paul El Kharrat a ensuite révélé que ses parents le font se sentir coupable dans ces moments-là. « Mes parents n’ont pas réussi à totalement m’éduquer selon les préceptes de la société. Ils y sont arrivés avec mon frère (20 ans) et ma soeur (16 ans), mais moi, on ne peut pas me dresser. Il m’est impossible de me fondre dans la masse. J’aimerais parfois qu’on s’adapte à moi », a-t-il conclu. La sortie de son ouvrage a permis à Paul El Kharrat de se confier. 

 

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