Depuis quelques mois, Patrick Poivre d’Arvor est au centre de tous les intérêts. En effet, le célèbre présentateur est accusé par plusieurs femmes d’agress*ons et de vi*l. Ce qui fait le plus froid dans le dos, c’est que l’une d’entre elles était encore mineure au moment des faits. La victime raconte son calvaire.
Au centre des accusations
Il y a quelques mois, l’écrivaine et vulgarisatrice, Florence Porcel, a accusé Patrick Poivre d’Arvor de vi*l. Des faits qui selon la présumée victime se sont passés en 2004 et 2009. Des révélations qui ont eu l’effet d’une bombe. Bien évidemment, il n’en fallait pas plus pour susciter les réactions partout, dans les médias ou encore sur les réseaux sociaux. Cependant, l’affaire a été classée sans suite pour manque de preuve. Aussi, un examen psychologique de Florence Porcel fait planer le doute.
Pourtant, au fil du temps, 23 autres femmes vont témoigner des mêmes faits ayant été réalisés par Patrick Poivre d’Arvor. Certains ont décidé de se confier dans l’anonymat dans la presse. Alors que d’autres n’ont pas hésité à parler à visage découvert. À l’exemple d’Hélène Devynck, qui est une journaliste à TF1.
Patrick Poivre d’Arvor, une de ses victimes, une mineure
Mais ce dimanche 12 décembre, l’émission Sept à Huit est revenue sur cette affaire qui inculpait Patrick Poivre d’Arvor. Durant lequel, Caroline, accuse l’ancien présentateur de TF1 de vi*l sur mineure. La jeune femme et PPDA se sont rencontrés quand elle lui a demandé un coup de main pour rencontrer Francis Huster. Ainsi, le journaliste lui propose alors de participer à une de ses émissions et l’invite en coulisses. Selon ses dires : « Il m’invite à rentrer dans sa loge, à m’asseoir sur le canapé. Ça commence par un échange normal. Il était assis à côté de moi sur le canapé et à un moment donné il a commencé à avoir des gestes déplacés ».
Avant de poursuivre : «Dans mes souvenirs il commence par m’embrass*r, ça, j’ai une image très nette sur le canapé où il est en partie sur moi […] je me retrouve sans le bas il me demande de m’allonger sur la moquette. Et là, il se met devant moi, il est comme moi c’est-à-dire qu’il a enlevé le bas, voilà, il est en ér*ction. Et là sans quoi que ce soit d’autre en fait, sans sensualité, sans quoi que ce soit d’autre, il me pén*tre ». Bien qu’elle ait choisi de garder son histoire pendant ces décennies, aujourd’hui, Caroline ne compte plus rester dans le silence.