C’est officiel, la majorité des contaminations en France est désormais due au variant Omicron. L’OMS alerte d’ailleurs de celle-ci pourrait générer de nouvelles variantes plus dangereuses.
Omicron fait ravage
Le variant Omicron est déjà partout. Actuellement, il est détecté dans 28 pays où le nombre d’infections ne cesse d’exploser. Par exemple, au Royaume-Uni, le nombre de contaminations en une journée est plus de 200 000 cas. Tandis qu’aux États-Unis, ce nombre a franchi la barre d’un million. Cependant, bien que l’Omicron soit moins contagieux que le Delta, il inquiète fortement l’OMS.
Face à l’ampleur de la situation, Catherine Smallwood, responsable des urgences à l’OMS a mis en garde : « Plus Omicron se répand, plus il se transmet, et plus il se réplique, plus il est susceptible de générer une nouvelle variante ». Avant de poursuivre : « Pour l’instant, Omicron est mortel, il peut provoquer la mort ». Certes, le taux de mortalité provoqué par Omicron peut être moins que celui de Delta. Mais, il est fort probable que le prochain variant soit plus dangereux. Sachez que plus le cas du variant Omicron augmente plus le risque de créer de nouveau variant plus virulents est élevé.
L’OMS appelle à la vaccination de masse
Pour leur part, l’OMS et certains professionnels de la santé déclarent que la vaccination de masse est le seul et unique moyen de sortir de cette pandémie. Ainsi, le gouvernement sollicite les Français à prendre leur dose de rappel le plus rapidement possible. Pour cause, il s’avère qu’avec seulement deux doses, la probabilité de tomber malade est très élevée si le vaccin a été fait il y a plusieurs mois.
De ce fait, à partir du 15 février prochain, le délai pour la dose de rappel sera de quatre mois au lieu de sept comme auparavant. Dans le cas où le délai soit dépassé, le carnet de santé obtenu grâce au vaccin ne sera plus valable. Un règlement qui s’applique pour les personnes qui n’auront pas reçu leur troisième dose de rappel.