«Ne faites pas trop de choses à votre visage» : le conseil beauté fort de Philippine Leroy-Beaulieu aux femmes qui prennent de l’âge
Philippine Leroy-Beaulieu s’exprime sur le vieillissement et la chirurgie esthétique. Prenez note, cela peut vous servir !
Philippine Leroy-Beaulieu : Le vieillissement et chirurgie esthétique
A 59 ans, cette comédienne est une des ambassadrices du «chic à la française» à l’étranger. Dans une interview accordée au magazine Page Six, Philippine Leroy-Beaulieu s’est exprimée sur le vieillissement et du recours à la chirurgie esthétique. «Ne faites pas trop de choses à votre visage. Soyez juste bienveillante et acceptez-le.» Ensuite, elle poursuit : «On peut faire des petites choses, mais dès que vous essayez d’en faire trop et que vous n’assumez pas, ça a l’air un peu… hum.» En effet, la comédienne encourage les femmes à accepter les impacts de l’âge. Elle suggère de ne pas les combattre. «Soyez juste heureuses d’être plus sages. J’aime cette idée. Je pense que cela m’apporte une sérénité que je n’avais pas avant» a-t-elle expliqué. Rappelons qu’elle a été nommée aux César pour Trois hommes et un couffin en 1986.
Le minimum pour briller !
«C’est quelque chose que nous devrions vraiment apprécier au lieu d’essayer de redevenir celles que nous étions il y a 30 ou 20 ans. Ça n’a pas de sens. C’est génial de simplement profiter de ce que nous avons et je pense que les choses vont de mieux en mieux.» Philippine Leroy-Beaulieu confie aussi au magazine que le vieillissement ne signifie pas chirurgie esthétique. Elle témoigne que l’âge lui a permis d’acquérir une vision sur ceux qui comptent vraiment. «Notamment dans le fait d’avoir de bonnes relations avec les gens. […] Je ne ressens plus les rancunes que j’avais l’habitude de ressentir. Je pardonne juste aux gens, je passe à autre chose. La vie est précieuse.»
Philippine Leroy-Beaulieu insiste sur le vieillissement et la chirurgie esthétique. Selon elle, il faut s’assumer. «Beaucoup de personnes, et d’ailleurs pas que des femmes, s’empêchent de déborder. La société enferme dans une imagerie et il faut d’en libérer. Cette question sur les femmes de plus de 50 ans revient souvent, on n’est pas des victimes, on est juste un peu hypnotisés par des narratifs un peu mainstream. On est victime que de soi-même et des limitations qu’on se met.» Quel état d’esprit !