Michel Drucker au plus mal à Eygalières, sa mise au point cash

Lors d’une récente interview au journal normand La voix, le bocage Michel Drucker a mis les choses au clair sur une rumeur le prétendant au plus mal à Eygalières, dans le sud de la France. Détails.

Michel Drucker au plus mal à Eygalières

Récemment, France Dimanche a alimenté une rumeur surprenante sur Michel Drucker. Selon le tabloïd, l’animateur faisait face à des problèmes de santé. Mais ce n’est pas tout. L’hebdomadaire faisait aussi état d’une éventuelle éviction du présentateur de France Télévisions. En effet, Michel Drucker ne figure plus parmi les personnalités préférées des Français. D’ailleurs, il n’encaissait pas le fait d’avoir été dépassées par Karine Ferri et certains « jeunes ».

Selon le magazine people : « Ses craintes étaient donc fondées ». Avant d’expliquer : « Les téléspectateurs n’ont aucune pitié, ne lui pardonnant pas ses traits tirés et ses hésitations. Michel, persuadé qu’il était devenu un monstre sacré de la télévision risque d’avoir bien du mal à encaisser le choc ». De plus, le classement des animateurs préférés des Français ne faisait que tout affirmer. « Se retrouver derrière Karine Ferri (37e), Laurence Ferrari et Pascal Praud (40) ou David Pujadas a tout l’air d’un désamour de ce public qu’il croyait acquis ».

Il prend sa revanche

Mais après ces coups durs, Michel Drucker semble avoir pris sa revanche. En effet, il fera son retour sur France 3 à la rentrée, où il aurait décroché un contrat à vie. Très heureux, il a déclaré : « On m’a proposé un contrat de deux ans “et plus si affinité” ce qui devient rarissime à la télévision ». En tout cas, le mari de Dany Saval se voit rester à l’antenne toute sa vie. Du moins, il ne prévoit pas de partir en retraite très prochainement.

Lors de cet entretien, Michel Drucker a remis les pendules à l’heure : « Nous sommes tous tellement accros à cette vie, cette mise en lumière, à cette notoriété. Que nous en priver, ce serait une “petite mort”. Et puis, je ne sais rien faire d’autre. C’est comme pour un sportif qui ne peut plus jouer au foot ou faire du vélo suite à un accident. C’est l’angoisse de ne plus être au meilleur de son niveau ». Et de conclure : « Quand on a fait de son métier sa passion et que cela s’arrête, c’est angoissant ».

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