C’est un sujet très intéressant à savoir ! En effet, Michel Biero annonce de baisser les prix des grandes marques. Mais comment ? On vous explique tout.
Michel Biero assure qu’il est possible de baisser les prix des grandes marques
Il est important de noter que l’inflation est mondiale. En conséquence, le prix de l’huile de tournesol a triplé, les pâtes ont augmenté de 25%. Le pays a dû passer par six hausses en huit mois sur la volaille… ! Quoi qu’il en soit, Lidl restera le meilleur rapport qualité-prix parce que leur offre est à 90% composée de leurs marques de distributeurs (MDD). Et ce fait a été confirmé par le consommateur. Selon Kantar, Lidl obtient 1 million de nouveaux clients en 2021 et encore 400.000 sur la dernière période, en avril. Justement, Michel Biero affirme, après avoir assuré la possibilité de baisser les prix des grandes marques que : “ nous sommes devenus le numéro 1 en France sur les fruits et légumes avec 12,5% de part de marché en volume. Alors que nous sommes plutôt la cinquième enseigne du marché global alimentaire en valeur !
Comment peut-on tenter de limiter l’impact de la hausse des prix?
Pour rappel, depuis mai, Lidl avait créé une offre Coup de pouce. Il s’agit de 5% de réduction sur le ticket de caisse Lidl une fois par mois, au-delà de 50 euros d’achat. Pour en bénéficier, vous n’avez qu’à télécharger l’application Lidl Plus, leur programme de fidélisation. Depuis son lancement, cette opération a séduit 1 million de clients sur les 5 millions de titulaires de compte Lidl Plus.
Par la suite, Michel Biero répond à la question concernant la pénurie, après avoir annoncé pouvoir baisser les prix des grandes marques. “ Il n’y a aucune pénurie, hormis de moutarde sur laquelle il y a un réel problème de récolte au Canada. Des ruptures d’approvisionnement, oui. Lorsque la demande de pâtes bondit de 30%, le fournisseur ne peut plus suivre. Cependant il faut trois à quatre semaines pour s’en remettre. Les comportements sont parfois irrationnels : en ce qui concerne l’huile de tournesol, ce sont les stocks de l’année dernière qui sont sur les rayons. C’est donc de la spéculation au sujet d’une pénurie possible l’année prochaine ou de l’entreposage par crainte de prix plus élevés.