Licenciement abusif : Il se fait virer de chez Action sans raison probable
Un employé de chez Action a été viré pour une somme de moins de 6 euros. Une raison ahurissante qui n’est pas à la hauteur de cette firme de renom. Ce licenciement tombe vraiment mal vu que le pays passe par une période de crise.
Un employé d’Action viré pour une saucisse ?
Action est loin d’être une firme méconnue des Français. En effet, elle a réussi à se faire une place au soleil en un rien de temps. Pour atteindre cette réussite, la firme a dû faire appel à des salariés de confiance. Avec le temps, Action a obtenu la moyenne de 3/5. À première vue, Action est loin de faire l’unanimité. Ludovic fait partie des salariés d’Action à Nogent-sur-Oise depuis 8 ans.
D’ailleurs, il fait partie des personnes qui ne pensaient jamais quitter leur travail et il fait tout pour le garder. Malheureusement cet employé d’Action a été viré en mars dernier. La raison de ce licenciement est totalement absurde. Après tant d’années de bons et loyaux services, il a été viré même s’il n’a pas commis de faute grave. L’acte qu’il a commis est minime par rapport à la sentence qu’il a reçue. Action avait annoncé que cet employé avait été viré suite à un dommage qui équivaut à 5,48 euros.
Une sanction trop dure ?
Ludovic a reçu sa lettre de licenciement le 26 mars 2024. Effectivement, Action avait viré cet employé sans possibilité de retour en arrière. Ce genre de sanction est plutôt destiné aux personnes ayant fait des fautes lourdes. « Vos agissements ont causé au magasin Action de Nogent-sur-Oise un préjudice de 5,48 euros » peut-on lire dans le motif de licenciement. Cet employé de chez Action a donc été viré à cause d’une somme de moins de 6 euros. Ce montant correspond en fait à un paquet de mini-saucisses qu’il avait omis de payer à la caisse d’Action, son lieu de travail.
Ludovic a tout de même reconnu les faits qu’Action lui reproche. Par ailleurs, il affirme aussi ne pas avoir suivi la procédure qui demande à payer avant de consommer. Un renvoi qui lui semble abuser. Le vendredi 9 février, il a eu une petite faim quand il se trouvait dans les rayons du magasin. Par conséquent, il choisit de prendre une canette, un paquet de gâteau et des mini-saucisses. Au moment de passer à la caisse, il voit une file trop longue à son goût et reporte son paiement. Il s’acquittera des autres articles, mais omet de payer les mini-saucisses. Mais est-ce qu’il y a eu un véritable oubli ou mauvaise foi ? Néanmoins, c’était loin d’être la première faute que Ludovic avait faite au sein de la firme.