L’heure de prendre le repas compte beaucoup dans le stockage de gras. Il semblerait en ce qui concerne l’alimentation, il faut prendre en compte trois facteurs. Il s’agit de la quantité de calories brûlées, le degré de faim et le stockage du gras.
L’heure de prendre le repas impacte-t-il le stockage de gras ?
Actuellement, bon nombre de personnes sont touches par l’obésité. Mais une nouvelle étude met en avant une solution tourte simple à la prise de poids. En effet, il s’agit du fait de prendre ses repas plus tôt. Vraisemblablement, prendre ses repas un peu tard va impacter la régulation biologique du poids. Il semblerait que ce dernier se base sur trois facteurs : la quantité de calories brûlées, le degré de faim et le stockage du gras. D’ailleurs, d’autres études ont mis en avant qu’il y a une relation entre l’heure de prendre le repas et le stockage de gras.
Ainsi, un repas tardif serait à l’origine de l’obésité. Sans oublier l’augmentation de la graisse corporelle et à une altération du succès de la perte de poids. Bien évidemment, les chercheurs voulaient étudier de plus près le lien entre l’heure de prendre le repas et le stockage de gras. « Nous voulions tester les mécanismes qui peuvent expliquer pourquoi le fait de manger tard augmente le risque d’obésité », déclare le neuro-scientifique responsable de l’étude Frank Scheer au magazine Science alert.
Un test intéressant
Pour mener cette étude sur le lien entre l’heure de repas et le stockage de gras, seize participants ont été impliqués. Effectivement, ces personnes détiennent un indice de masse corporelle (IMC) qui se situe dans un surpoids ou de l’obésité. Deux types d’expériences ont été menés qui dure six jours chacune, avec un contrôle strict du sommeil et de l’alimentation. Cependant, il y avait plusieurs semaines de pause entre chaque test.
Avec des échantillons de sang, l’équipe de scientifiques ont émis des observations. En mangeant tard, le niveau de leptine, hormone qui contrôle la sensation de satiété était plus bas. Avec la faim, l’organisme brulait plus de gras. De plus, l’expression génétique du tissu adipeux augmentait le processus dit d’adipogénèse, soit la création de graisses. Néanmoins, elle réduisait le processus de lipolyse, soit la dégradation du gras.