Les nouvelles prévisions météo alarmantes de la célèbre présentatrice Evelyne Dhéliat
Les prévisions météo d’Evelyne Dhéliat pour 2050 sont plus alarmantes que celles de 2014. Il est plus que temps d’être conscient de cette situation.
Les prévisions météo alarmantes d’Evelyne Dhéliat
En 2014, Evelyne Dhéliat, avait présenté des prévisions météo alarmantes. Ces dernières anticipaient les températures du mois d‘août 2050 en pleine canicule. On y voyait alors de nombreuses villes subir des températures égalant ou dépassant les 40 degrés. Huit ans plus tard, l’intéressée revient sur ces prévisions, dans un nouveau bulletin, mercredi 26 octobre. Hélas, elles ont désormais changé. Les spécialistes de Météo France anticipent à présent, toujours à l’horizon 2050, des températures spectaculaires. Elles pourraient régulièrement atteindre 48 degrés à Nîmes (Gard) ou bien 45 degrés à Bordeaux (Gironde). Des maximales nettement supérieures à celles qui étaient affichées sur le bulletin de 2014. Et les villes du sud du pays sont loin d’être les seules concernées. D’après les nouvelles prévisions relayées par la météorologue, la ville de Brest (Finistère) pourrait connaître un pic à 37 degrés.
Plusieurs records de température battus
« Cela vous paraît peut-être excessif, et pourtant ! Souvenez-vous de ce que l’on a vécu l’été dernier », poursuit Evelyne Dhéliat. Et pour cause : mi-juillet, la ville bretonne a vu le thermostat grimper jusqu’à 39,3 degrés, un record. À La Rochelle (Charente-Maritime), il était monté jusqu’à 41,7 degrés. Des records sont également tombés pendant l’été 2019; On peut notamment citer l’Hérault, avec 46 degrés à Vérargues. À Paris, il avait fait jusqu’à 42,6 degrés. Et la présentatrice de conclure : « Tous ces exemples du passé nous prouvent bien l’accélération du réchauffement climatique et la nécessité d’agir pour notre planète ». Ainsi, les prévisions météo d’Evelyne Dhéliat sont alarmantes.
Déjà, en 2014, la carte anticipait des maximales dépassant 40 °C. Dans les nouvelles prévisions météo d’Evelyne Dhéliat, ces maximales s’envolent encore plus haut. L’évolution est particulièrement frappante au nord de la Loire : le thermomètre à Brest pourrait afficher 37 °C, alors qu’il n’anticipait que 26 °C en 2014.