Les 12 coups de midi : l’émission de Jean-Luc Reichmann accusée de favoritisme et de tricherie
Les 12 coups de midi vient d’être accusé de tricheries et de favoritisme. Une accusation que la production du jeu vient d’y apporter des explications.
Des candidats du jeu pointé du doigt
Jean-Luc Reichmann est à la tête de cette émission de jeu sur TF1 depuis des années. D’ailleurs en ce moment, les 12 coups de midi a été accusé de tricheries et de favoritisme. En effet, les représentants d’Endemol ont accordé un entretien journalistes de Télé Star. De plus, l’accusation de pédopornographie à l’encontre de Christian Quesada était loin d’être reluisant pour le jeu de TF1. Cependant, c’est Stéphane qui a le plus souffert de cette accusation de favoritisme.
Néanmoins, malgré que sa crédibilité est en jeu, l’émission attire toujours autant les téléspectateurs français. En plus, il y a aussi les accusations concernant la difficulté des questions posées aux Maîtres de midi. Elles seraient plus faciles que celles auxquelles doivent répondre les autres candidats. Une manière pour la production de les garder plus longtemps.
Les 12 coups de midi accusé de tricherie et de favoritisme
La société de production Endemol a nié les accusations de tricherie et de favoritisme dans les 12 coups de midi. Effectivement, elle avait avoué qu’il y a un contrôle strict qui empêche la possibilité de ce genre de chose. Par ailleurs, Endemol affirme que certains téléspectateurs auraient tout simplement mal interprété le déroulement du jeu.
Toutefois, concernant les accusations de copinage qui visent Stéphane, l’ancien Maître de midi, Endemol nie tout en bloc. Notant que ces doutes ont vu le jouir quand un proche de cet ex-candidat a remporté l’Étoile mystérieuse. Avec stupéfaction, des téléspectateurs ont eu vent que ce candidat venait du même village et de la même association que Stéphane. « C’est une simple coïncidence. Parfois le hasard fait bien les choses », a notamment déclaré Endemol. Espérons que ces propos vont convaincre les téléspectateurs.