« Les 12 coups de midi » rime avec la douce et belle voix de Zette, la voix off de l’émission depuis plusieurs années. Ce jeudi, Jean-Luc Reichmann a fait une rare confidence sur son acolyte de toujours. On vous dit tout.
Qui est réellement la voix off des « 12 coups de midi »
De son vrai nom Isabelle Benhadji, Zette fait le bonheur des fans des « 12 coups de midi » avec sa voix depuis des années. Pourtant, elle n’est pas à son premier coup d’essai. En effet, elle avait déjà enregistré de nombreuses voix off pour TF1. À l’image des jeux « Le Juste Prix », « Mokshu Patamu », « Défense d’entrer », « Témoin numéro 1 » ou encore « Célébrités ». Ce n’est pas tout. Depuis, 1995, Zette officie en tant que voix de l’opérateur Bouygues Telecom.
Cela fait plusieurs années que Zette illumine le plateau des « 12 coups de midi » avec sa voix. Il faut dire qu’elle y est pour quelque chose en ce qui concerne le succès du programme. En effet, la jeune femme a gagné le cœur des téléspectateurs. Si elle suscite beaucoup la curiosité des internautes et des téléspectateurs, c’est que son visage n’a été dévoilé que très rarement. Aujourd’hui, nous allons vous en dire plus sur la complice de Jean-Luc Reichmann.
Les grandes études réalisées par « Zette »
Si vous êtes une adepte du jeu de midi de TF1, vous savez surement que les révélations sont toujours au rendez-vous dans le programme. Ainsi, ce jeudi 16 septembre, Jean-Luc Reichmann a parlé des langues vivantes étudiées par chacun. Pour cela, l’animateur des « 12 coups de midi » s’est intéressé à Zette. L’occasion pour les téléspectateurs de découvrir qu’elle a étudié l’Allemand en première langue vivante et l’Anglais en deuxième langue. Mais les révélations ne s’arrêtent pas là.
Le mari de Nathalie Lecoultre a donc lancé : « On va faire une petite parenthèse, parce que c’est mon amie depuis une éternité, Zette. Il faut savoir que cette fille qui est derrière le micro depuis des années à mes côtés (a fait) des études… ». Alors, la voix off a dévoilé qu’elle a « juste fait hypokhâgne ». Avant que Jean-Luc Reichmann ne surenchérit : « Hypokhâgne quand même, ça calme tout le monde ! ». En effet, il s’agit d’une illustre classe préparatoire littéraire.