Les 12 coups de midi Jean-Luc Reichmann déconcerté par le drôle d'aveu de Stéphane
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Les 12 coups de midi : Jean-Luc Reichmann déconcerté par le drôle d’aveu de Stéphane

Stéphane a encore fait parler de lui dans Les 12 Coups de midi. Jean-Luc Reichmann l’a taquiner. 

Les 12 Coups de midi : la performance de Stéphane impressionne

Candidat brillant ou imposture de l’année, Stéphane ne laisse pas indifférents les téléspectateurs de Les 12 coups de midi. Le champion de la pause déjeuner gravit les échelons depuis son premier passage en août dernier. Mais il insupporte également de nombreux fidèles du programme. En effet, ils le trouvent avantagés par la production. Une question d’une facilité déconcertante posée dans l’émission du vendredi 28 octobre a fini de les convaincre. « Pourquoi Stéphane n’a que des questions niveau CP ? En plus, ce mec est imbu de lui-même », résumait un internaute particulièrement virulent.

Mais réduire ce père de famille à ces accusations de favoritisme serait oublier ses larmes sincères d’émotion et sa formidable autodérision. Il s’est notamment amusé de sa ressemblance frappante avec Jamy Gourmaud, l’emblématique animateur de C’est pas sorcier. Jean-Luc Reichmann sait en effet que son protégé peut parfois vriller, et qu’il lui en faut peu pour partir dans les tours. Mais en tout cas, Stéphane reste un candidat impressionnant dans Les 12 coups de midi. 

« J’ai horreur de cette chanson »

Ce samedi 29 octobre, c’est une simple question sur Dalida qui l’a fait monter en pression. De façon improbable, Stéphane s’est en effet prêté au jeu des confessions dans Les 12 coups de midi. En effet, il a révélé avoir toujours voulu pratiquer la langue de Dante. A condition de ne pas entendre sur la route des vacances l’air de « Voyage en Italie », le tube de Lilicub. « J’ai horreur de cette chanson, j’ai les poils qui s’hérissent », a-t-il confié à Jean-Luc Reichmann. Et ce dernier a commencé à entonner les paroles de ce succès phénoménal. « Le timbre de la voix, je n’aime pas », a-t-il tenté de se justifier face à l’incompréhension de son interlocuteur. En plus, avec la complicité de la production, Stéphane a ainsi eu le « plaisir » d’écouter plusieurs fois cet air de « virée à deux sur les chemins ».Mais il concrétise sa soixante-et-onzième participation. Sacré parcours !

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