Malgré les difficultés rencontrées durant la participation de Florian à l’émission Les 12 coups de midi, le public a senti son immense joie à chaque émission. Il va manquer aux téléspectateurs.
Les 12 coups de midi : Les difficultés de Florian
Échecs aux « Coup de maître », passages au rouge, « Coup fatal » remportés de justesse…Depuis plusieurs rouges, Florian a rencontré des difficultés dans Les 12 coups de midi. Justement, ce mardi 7 mars, le jeune homme a quitté l’émission de Jean-Luc Reichmann. Plusieurs facteurs extérieurs ont eu raison du désormais ancien champion. « C’était un soulagement de perdre », confiait-il lors d’un entretien à Télé-Loisirs. Dans la suite de cette interview, le sympathique candidat revient sur son expérience.
D’abord, Florian était loin de son sud natal, indispensable à sa vie. « Quand je suis loin de l’air marin, je ne me sens pas bien », affirme-t-il. Ensuite, il précise qu’il était monté seul à Saint-Denis, près de Paris. « J’étais seul et éloigné de ma famille et de ma petite amie », se remémore-t-il. De plus, il ajoute qu’il était difficile de communiquer avec cette dernière. Et pour cause, les tournages étaient très fatigants. « Nous faisions de longues sessions de 13 à 21 heures », évoque-t-il. Ainsi, la fatigue et l’usure ont eu raison de sa performance. « Le matin de mon élimination, je suis arrivé au studio d’enregistrement en n’étant pas en forme. J’étais dans un mauvais jour, plutôt triste », continue-t-il.
L’étudiant était stressé à cause de ses examens
Durant son aventure dans Les 12 coups de midi, Florian a également évoqué ses difficultés. D’ailleurs, Florian est souvent revenu sur sa vie étudiante. Il expliquait notamment avoir fait quelques sacrifices pour participer au jeu. « J’ai loupé quelques cours. J’avais aussi deux examens pour la Fac. Toute la semaine, j’avais le stress de me dire que j’allais louper mon année et mes examens parce que j’étais là », explique le jeune homme. Heureusement, ses professeurs l’ont soutenu. Mais il ne voulait pas enchaîner les absences. En effet, il déclare : « Mes frères me disaient que je pouvais m’absenter comme je gagnais de l’argent. Sauf que je ne pense pas comme ça. J’avais arrêté un Master. Je l’avais vécu comme un échec, je ne voulais pas que ça se reproduise ».