Le patron Michel-Édouard Leclerc annonce la baisse du prix des jouets. Une bonne nouvelle pour les clients de Leclerc. Cette réduction s’applique sur plusieurs certains produits !
Depuis quand offre-t-on des jouets aux enfants le 25 décembre ?
Depuis des années, bon nombre de personnes font des échanges de cadeaux pendant les fêtes de noël. À l’approche de cette fête, chaque membre de la famille se met déjà à la recherche des cadeaux à offrir. Notant que c’est une fête destinée aux enfants mais aussi aux grands. Depuis des années, les enfants ont droit à des jouets lors de cette période. Cependant autrefois, les enfants n’avaient droit qu’à une orange. Les jouets n’ont fait leurs apparitions que plus tard.
Alors depuis quand offre-t-on des jouets en fin d’année, et à quel moment, pour quelles fêtes ? Qui donnait les jouets avant l’apparition du Père Noël ? Il y a deux millénaires en arrière, cette figure emblématique de la vie des grands et des enfants font leurs apparitions. Le père noël est une vraie révolution.
Michel-Édouard Leclerc fait part de son avis !
En cette période d’inflation, les prix ne cessent de connaitre une hausse considérable. Effectivement pour pouvoir joindre les deux bouts, les Français décident de mettre en place des stratégies pour ne pas payer cher. Il y en a qui décident de se tourner vers les promos pour réduire la somme du ticket de caisse. Cependant, il y en a qui choisissent de venir faire leur course en magasin les mercredis, pour profiter des prix réduits. Il y a ceux qui font leurs courses dans plusieurs enseignes. D’après Corporate Bonial, les Français font leurs courses dans 4 enseignes alimentaires différentes en moyenne. « Ils attachent une importance particulière aux prix, à l’offre et à l’accessibilité des points de vente. Leclerc, Carrefour et Lidl font partie des enseignes préférées et les plus fréquentées par les clients » avait-il déclaré.
Vers une baisse de l’inflation
Pour le moment, le baisse de prix n’est pas au programme pour chez Leclerc, Lidl, Carrefour et autres firmes de grande renommée. Effectivement, c’est loin de plaire à Michel-Édouard Leclerc qui avait déjà annoncé une hausse qui avoisine les 17%. L’homme d’affaires affirme qu’il est assez difficile de mener une négociation des prix qu’une fois par an. Mais désormais, les firmes réduisent leurs marges pour offrir des prix plus abordables à leurs clients. De son côté, le patron de Lidl est aussi de cet avis. « Il n’y aura pas de baisse massive des prix. Il y aura des promos pour écouler les invendus des grandes marques qui avaient connu des hausses excessives » déclare Michel Biero. Mais une bonne nouvelle va faire son apparition. Il semblerait qu’il y aura une baisse de prix sur les jouets de Leclerc. Une nouvelle qu’il avait annoncé sur France Info.
Leclerc : Une baisse des prix pour les jouets de Noël
Cette baisse de prix chez Leclerc va concerner bien évidemment l’alimentaire. Cette diminution touche ce qui est « peu produit en France, comme le textile. Ça va carrément baisser ». « Dans les semaines qui viennent les jouets de Noël. Il y a des vraies baisses, de l’ordre de 2 à 3 % » avait déclaré le boss de Leclerc. Il y aussi de bonnes nouvelles sur les céréales. C’est un marché qui a connu une baisse. Donc les pâtes et les pizzas vont peut-être avoir des baisses. Pour le prix du café, ils sont « en train de remonter, mais il est resté stable ». Michel Édouard Leclerc se veut d’être optimiste sur l’avenir de cette inflation. Il pense qu’elle va diminuer dans les prochains mois. Toutefois, cela ne va pas toucher les produits courants.
« On vient de se taper quand même 17 % de hausse en un an et demi. Donc pour que la courbe baisse, il va falloir s’y employer dare-dare. On va y aller avec beaucoup d’énergie, chercher des baisses si on peut » balance-t-il. « Une inflation qu’il faut diviser par deux sur les produits alimentaires, sur les produits de conso courants. Là, beaucoup d’industriels ont tapé des ménages à des niveaux inégalés depuis très longtemps » avait-il ajouté. « Les prix qui ont été fixés en début de négociations « sont entre 6 et 10 % de demande de hausse pour 2024. Il va falloir ramener ça à des 2 %, 3 % » conclut Michel Édouard Leclerc. À première vue, il va falloir espérer une fois de plus.