Leclerc dépouillé par une famille : 70 chariots volés en seulement 6 mois !

Une petite famille de Saint-Leu a été pointé du doigt pour des chariots voles chez Leclerc. C’est un vigile qui a découvert leur combine qui a couté 70 chariots pleins de produits à cette enseigne.

Leclerc de Saint-Leu a eu droit à des chariots volés

Un vigile de Leclerc avait suspecté une famille qui faisait des achats à répétition. D’ailleurs en leur demandant le ticket de caisse, ça n’a rien à avoir avec le contenu des rayons du Leclerc en question. Ainsi, il fait le choix d’en informer la direction. En visionnant les caméras de surveillance du magasin, ce vigile s’est rendu compte que cette famille a déjà obtempéré cette fraude durant au moins six mois. Vraisemblablement, la caissière était de mèche avec les malfaiteurs. Celle-ci scannait les objets sans le comptabilisé. De plus, la caissière et les fraudeurs semblent être de la même famille. Le père, sa belle-mère ou sa sœur. Ont tous profité de cette fraude.

Cette famille a donc profité de Leclerc avec au moins 70 chariots volés. Mais à chaque achat, ils ne payaient que 5 euros au lieu de 150 euros. Suite à ces vols, Leclerc a perdu au moins 10 000 euros sur six mois. Malgré cela, devant le tribunal de Saint-Pierre, le jeudi 27 octobre, la famille a minimisé le nombre de chariots volés chez Leclerc.  « C’était comme une drogue, on en parlait entre nous en se disant qu’il fallait qu’on arrête… », ont-ils déclaré à la barre.

La famille au plus mal

Il semblerait que la sœur de la caissière est même agent de sécurité. Par conséquent après ces chariots voles chez Leclerc, elle ne pourra plus faire ce travail. « Vous avez joué plus que des caddies sur ce coup-là », a donc affirmé le parquet. « J’ai fait ça pour aider, on avait des soucis d’argent mais je sais que c’est mal » avait-elle répondu. Effectivement, Leclerc veut un rembourrement pour ces chariots volés soit une somme de 9 335 euros.

« Un calcul de voyous financiers car tout le monde sait que les vols dans les grandes enseignes sont déjà comptabilisés dans les prix affichés. De plus, il s’agit du prix de sortie, avec la TVA et la marge appliquée. Ils ont amorti ces pertes il y a bien longtemps », affirme le maître Alain Le Bras.  Ce dernier pointe du doigt une absence totale de représentants et d’avocats de la part de l’enseigne. Pourtant le tribunal de Saint-Pierre a condamné les deux sœurs à 150 heures de travaux d’intérêt général.  Sans oublier que les parents ont eu droit à 4 mois avec sursis mais la famille n’aura pas à rembourser Leclerc.

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