Le PDG d’une start-up a effectué un retrait de 500 millions dans le pays. Car la situation économique du pays est inquiétante, il s’agit d’Israël. De plus, le PDG a peur que la situation financière ne s’améliore pas. Au contraire, il craint que la situation va encore se détériorer. On vous en dit plus dans cet article.
La situation financière va se détériorer ?
Le PDG de la société de haute technologie Riskified, Ido Gal, a annoncé ce mercredi matin dans une lettre le retrait de 500 millions de dollars du pays. « Notre crainte est que la situation financière continue de se détériorer – et que le gouvernement limite les transferts ou retire de gros montants », a-t-il écrit. A noter que c’est une société cotée en bourse qui fournit un logiciel. Celle-ci sert à la prévention de la fraude et de la rétrofacturation.
« Compte tenu du rythme rapide auquel Israël évolue, je voulais clarifier ma position par écrit et partager les actions que notre entreprise va engager », a-t-il cojjmmencé sa lettre. « Les lois qui sont actuellement adoptées peuvent conduire à la destruction du système judiciaire. Cela conduira très probablement à une baisse significative et durable de l’activité commerciale en Israël« .
Le PDG va faire le retrait de 500 millions dans le pays
Ensuite, il a affirmé que l’entreprise retirerait 500 millions de dollars du pays et en a expliqué les raisons : « Notre crainte est que la situation financière continue de se détériorer et, afin de maintenir la stabilité économique, le gouvernement limitera les transferts d’argent ou le retrait de grosses sommes.«
« Nous élargissons notre recrutement à la succursale de Lisbonne, au Portugal, nous soutiendrons ceux qui veulent s’y installer eux-mêmes. Nous encourageons la participation aux manifestations et ceux qui ne travaillent pas ce jour-là, n’auront pas de jours de congé à poser », a-t-il ajouté. Mi-février, de nombreux patrons de start-up se sont mobilisés contre la réforme controversée de la justice proposée par le gouvernement. Les milieux économiques s’inquiètent qu’une telle réforme puisse nuire à l’économie israélienne. On espère que la situation s’améliorera.