Avec le temps, le code-barres a été remplacé par le QR code auprès de articles en vente dans les commerces. Il constitue une « pièce d’identité du produit » tout en permettant d’avoir un accès à d’autres fonctionnalités.
Le code-barres remplacé par le QR code
Le code-barres n’a été commercialisé qu’en 1971 sous l’impulsion de l’ingénieur américain George Laurer. Cependant, ce n’est que le 3 avril 1973 que le système a été utilisé dans les produits de grande consommation. Ainsi, le 26 juin 1974, un paquet de chewin-gum avait été scanné pour la première fois. D’ailleurs, cet article est en ce moment exposé au Musée national d’histoire américaine à Washington. Vraisemblablement, c’est l’organisation Global Standard 1 (GS1) qui offre l’identification des produits. Bien évidemment, cela se fait à la demande pour chaque produit de chaque entreprise comme Coca-Cola ou un producteur de fromages. Ainsi, c’est le code unique d’identification qui va être traduit en code-barres. Mai pour cela, les entreprises doivent faire une cotisation de 98 euros à 4.400 euros par an. Toutefois le code-barres a été remplacé par le QR code.
Une idée révolutionnaire
En 2017, une révolution a fait son apparition. Effectivement, le code-barres a été remplacé par le QR code. La première s’apparentait aux barreaux d’une prison contre un jeu de go pour le QR code. Ce dernier signifie Quick Response Code (code à réponse rapide) et il est capable d’intégrer bien plus vite les informations. Ces derniers peuvent être la composition du produit nécessaire pour le recyclage. « Ses atouts : capturer plus d’informations produits, partager une infinité de contenus digitaux. Il est aussi capable de créer de nouveaux usages accessibles à tous, notamment aux consommateurs », affirme GS1.
Ainsi, bon nombre d’enseignes ont déjà remplacé le code-barres au QR code. De cette manière, les clients peuvent avoir un accès sur la fabrication ou les caractéristiques des produits. Désormais, l’usage du QR Code a été détourné de son usage économique. Il avait été utilisé sur la pochette de l’album « V » du rappeur français Vald. Par ailleurs GS1 affirme que le QR Code sera un formidable outil pour développer l’économie circulaire comme le recyclage, la réutilisation, le réemploi.