Laurent Delahousse accepte enfin de voir son portrait révélé dans les colonnes de Libération. Ce 12 juillet 2022, après quelques décennies dans le monde de journalisme, il se fait donc finalement à l’idée de voir son nom en grandes lettres dans les colonnes de cette gazette emblématique. En effet, il avait longtemps décliné cette interview pourtant célèbre dans la presse.
Il se veut le plus sincère possible
Le métier de présentateur a tendance à avoir mauvaise presse. C’est un comble mais c’est vrai, le public peut penser que les médias ne véhiculent pas seulement des informations. Le sentiment que ce sont surtout des méthodes pour harmoniser les pensées et lisser les aspérités qui sont répétés dans les médias. Et il semble que Laurent Delahousse sorte de cette case imposée par les mœurs sans trop d’efforts.
En effet, il est un journaliste à part, apprécié par les Français pour son professionnalisme mais aussi pour sa sincérité. La façon qu’il a de révolutionner ses journaux télévisés montre qu’il s’attache davantage à la culture et aux personnalités de ceux qui font l’actualité sans doute. Aussi, il n’est pas partisan de s’enfermer dans une bulle qui devrait être celle de tous les journalistes.
C’est pourquoi, dans son portrait chez ce journal célèbre, l’addiction de Laurent Delahousse est évoquée sans hypocrisie. Sans pour autant en être fier, Laurent Delahousse préfère s’en cacher. Après tout, beaucoup de Français partageaient et connaissaient la difficulté de s’en défaire.
L’addiction de Laurent Delahousse
Pour faire court, l’addiction de Laurent Delahousse est la clope. C’est un fumeur invétéré. La cigarette fait partie de son quotidien et il ne parvient pas vraiment à changer ses habitudes dans ce domaine. Pourtant, comme il dit à nos confrères, ce n’est pas faute d’avoir essayé. Et encore une fois, il n’est pas fier en évoquant cette addiction.
En effet, le présentateur a essayé de porter des patchs et même de se faire hypnotiser. Mais rien n’a fonctionné, malgré sa détermination d’arrêter, il continue de fumer. Laurent Delahousse va même dire que sa pharmacienne pense encore qu’il a réussi à arrêter puisqu’il continue de lui acheter des patchs.