Kiabi : la marque frappe très fort avec ce nouveau concept qui va satisfaire les Français !
Ce concept de Kiabi s’agit de la location de vêtements. En effet, les clients qui pouvaient avoir accès à ses trois magasins peuvent louer en 5 et 20 articles. Et la somme de la location va de 19 euros à 49. Une façon donc économique d’avoir des affaires notamment durant une grossesse. Ce type de concept ne semble pas exister encore trop en France pour les tenues de tous les jours. Ainsi, la marque Kiabi fait fort en proposant cela. On vous explique tout ici.
Le nouveau concept de Kiabi
Kiabi reste une marque déjà bien connue en France pour ses petits prix. Mais pour aller encore plus loin, Kiabi propose aussi une location de vêtements. Ainsi, cela peut aller entre 5 et 20 par mois, et tout cela pour une somme variant entre 19 et 49 euros. Une manière alors très accessible de s’habiller, surtout quand les vêtements ne sont pas faits pour durer.
Ainsi, pour l’exemple d’une femme enceinte, les habits de location comme le proposent Kiabi restent un réel plus. En effet, le corps change forcément beaucoup et les habits peuvent vite ne plus convenir. Eh bien, avec le service de location, il ne semble plus y avoir de soucis de ce genre. Pour le moment, Kiabi a déjà deux magasins qui testent la location de vêtements. On retrouve Noyelles Godault dans le Pas-de-Calais depuis le mois d’août et Le Pontet dans le Vaucluse depuis le 6 octobre. Et bientôt, le Kiabi à Bègles en Gironde commencera le mois prochain.
Le fonctionnement
Ainsi, pour une location de vêtements chez Kiabi, il suffit d’être membre du programme de fidélité. Ensuite, il reste possible de prendre n’importe quel article de Kiabi, et ce, à différents prix en fonction du nombre d’articles. Cela va de 5 articles pour 19 euros, à 20 produits pour 49 euros. “Le client peut changer de formule d’un mois sur l’autre mais surtout il peut échanger ses articles. Tous ou une partie quand il le souhaite dans le mois, explique-t-elle. Ce qui compte, c’est le nombre de vêtements empruntés présents dans son armoire”.
Ainsi, si les habits n’ont pas été portés, ils sont remis dans les rayons de Kiabi. Sinon, ils se retrouvent dans les produits de seconde main. La cheffe de projet explique “tant que ce n’est pas du vandalisme pur, on se doute qu’il y aura des accidents”. Elle ajoute aussi “Il y a ceux qui veulent renouveler fréquemment leur garde-robe. Ces parents qui préfèrent ne pas trop investir alors que les enfants grandissent vite ou encore ceux qui le font par conviction écologique”.