Consciente de ses défauts, mais aussi de son talent, Anne-Sophie Lapix n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds…Anne-Sophie Lapix prend la décision de répondre aux critiques sur France 2. Ça pique !
Tous aux abris… Anne-Sophie Lapix met les points sur les «i»
Certes, au niveau physique, ça a tellement changé. On aurait presque l’impression que le temps n’a pas de prise sur elle. Nettement plus confiante, elle tente d’avancer sereinement malgré les critiques de ses pairs ou bien des téléspectateurs. D’ailleurs, la dernière en date, elle souhaite y répondre. Et ce, même si cela doit lui coûter son fauteuil au célèbre émission d’une chaîne populaire ! On vous explique tout dans les moindres détails…À chaque fois qu’elle finit son journal télévisé, Anne-Sophie Lapix croise les doigts pour devancer sa voisine . Du reste, à 13 heures, son confrère Julian Bugier a profité de la longue absence de Marie-Sophie Lacarrau pour marquer des points. Or, l’objectif de la femme d’Arthur Sadoun ne varie pas avec les années. Si elle veut sauver sa peau, elle doit donner du fil à retordre à Gilles Bouleau ou bien à Anne-Claire Coudray. Épuisée par son débat musclé avec Rachida Dati, elle compte les jours qui la séparent de sa pause estivale. Chouette, à partir du 15 juillet, Nathanaël de Rincquesen ou Karine Baste-Regis reviendraient!
Anne-Sophie Lapix : la décision sur France 2
À chaque fois que l’on interroge des politiques au sujet d’Anne-Sophie Lapix, ils ne mâchent pas leur mot. Ce n’est pas pour rien que notre président actuel et une autre candidate au pouvoir ont décidé de volontairement l’évincer de la présentation du débat. À la place, ils ont préféré avoir une certaine Léa Salamé. Donc, à votre avis, après cette épreuve, est-ce que la journaliste se sent en danger ? Face à nos confrères de Le Parisien, elle essaie de définir sa ligne éditoriale. Balayant les critiques d’un revers de la main, elle semble consciente qu’on la décrit comme une personnalité combative. C’est pourquoi, au mieux d’attendre ses bonnes résolutions de janvier, elle va s’efforcer de renverser la vapeur en septembre. Elle a dit qu’on pourrait plus au moins apprécier son ton. Mais elle tente de le rendre plus neutre, de gommer l’ironie et même le sourire et ça ne passe pas toujours comme elle le pensait. Plus que jamais, elle refuse que le buzz de son entretien avec l’ex-Premier ministre ne lui colle encore davantage à la peau. Effrayée des retours, elle considère que l’interview a coûté un peu plus cher…Plein de gens ont mal vécu. Arrivera-t-elle à trouver un juste milieu ? La suite dans notre prochain numéro !