Les Pernaut Vs Geneviève de Fontenay
Jean-Pierre Pernaut est agacé par Geneviève de Fontenay. Pour cause, cette dernière a encore chargé son épouse, Nathalie Marquay. En effet, elle a traité l’ancienne Miss France de « sans cerveau ». Lors d’une interview accordée au magazine Télé Star, la dame au chapeau avait lancé : « Elle n’existe plus. Elle est sortie de ma mémoire. Pour moi, elle est destituée ». Des déclarations qui ont fait sortir Nathalie Marquay de ses gonds
Pour cela, la femme de Jean-Pierre Pernaut ne s’est fait pas prier pour répliquer Geneviève de Fontenay: « C’est comique ça, parce que Geneviève de Fontenay était la première à défendre le fait qu’être une Miss, ce n’est pas seulement “sois belle et tais-toi”. Elle s’est toujours battue pour ça, et maintenant elle fait le contraire…». Très remontée, elle poursuit : « Franchement, elle me fait pitié. Tout ça pour faire du buzz. Je pense qu’elle devrait mieux se concentrer sur sa santé, de s’occuper de ses petit-enfants qu’elle a très peu vus quand elle était plus jeunes… Il faut qu’elle arrête de parler sur moi, je n’ai aucun intérêt ».
Les origines de la guerrila
Le torchon brûle ainsi entre Jean-Pierre Pernaut, sa femme et Geneviève de Fontenay. Mais on se demande l’origine de cette guérilla. Vraisemblablement, tout a commencé quand l’ancienne reine de beauté a participé à la « Ferme des Célébrités en Afrique ». Dès lors, une rumeur circulait selon quoi, la femme de Jean-Pierre Pernaut et Daniel Ducruet entretenait une relation au-delà de l’amitié. Ce dernier n’est autre que l’ancien mari de la princesse Stéphanie de Monaco. Ainsi, il semblerait que c’est la dame au Chapeau qui a lancé les rumeurs.
L’ancien présentateur du JT de la chaîne TF1 a pourtant défendu sa femme. Pour cela, il a expliqué dans son bouquin « Pour tous vous dire » (édition Michel Lafon) que cet épisode a été orchestré pour manipuler son couple. Il relate précisément les manières des paparazzis, car selon lui, ces derniers prenaient sans arrêt des photos de sa compagne et Daniel Ducruet. Finalement, sur un cliché, la presse a conclu un fait, car il y avait le mouvement et le regard attendus.