Jean-Luc Reichmann une anecdote de plus dans « Les 12 coups de midi »
Comme à son habitude, Jean-Luc Reichmann était aux commandes d’un nouveau numéro des « 12 coups de midi » ce dimanche 12 septembre. Durant laquelle, quatre candidats sont venus dans la ferme intention de renverser Bruno de son trône. Pour sa part, ce dernier était plus que déterminés à garder sa place et à continuer à exploser les records. D’ailleurs, il a affronté ses adversaires sur un sujet qu’il connait très bien, Mylène Farmer.
Arriver au moment d’éliminer de la liste de propositions les titres de l’interprète de Sans Contrefaçon, un candidat a raté. Une situation que le plus grand maitre de midi n’a pas manqué de se moquer. Ainsi, Jean-Luc Reichmann lui a trouvé un nouveau surnom, « Le Renard ».
Très sûr de son coup, Jérémy a décidé d’éliminer le titre Ainsi soit-il. Mais un vrai fan de Mylène Farmer, Bruno n’a pas manqué de le corriger : « c’est Ainsi soit je ». Jean-Luc Reichmann a aussitôt commenté : « Tu parles, il connaît tout ça par cœur ». Avant de le surnommer : « Vous voyez comment il est finaud ? Finaud le renard ».
« Je déteste les renards »
Malgré cela, le présentateur de TF1 n’a pas les meilleures anecdotes sur les renards. Effectivement, il n’est pas un fan de cet animal. « Je me suis fait bouffer mes poules, je vous jure, huit poules d’un coup ! Je vous le dis officiellement : je déteste les renards », a lancé Jean-Luc Reichmann. Avant de rajouter : « Il m’a bouffé huit poules ce renard. Vous entendez ça ? ».
Bruno a ainsi demandé : « En un jour ? ». « Non, non, en une nuit ! » a crié le mari de Nathalie Lecoultre. En effet, il possède son propre potager et plusieurs animaux de la basse-cour dans sa propriété. Il explique ainsi : « Il est passé par-dessus [chez moi], pourtant, j’avais mis des grillages à l’envers […] ». Le champion de midi a balancé : « C’est chaud ». Mais encore sous le choc, Jean-Luc Reichmann a répondu : « Non, ce n’est pas chaud, c’est insupportable ». Finalement, le présentateur est revenu sur le sujet qui lui a amené à parler de cette anecdote. Il conclut alors ses propos : « Ah oui, parce que vous êtes un renard, Bruno ».