Ce lundi 17 octobre dernier, Jamel Debbouze avait parlé de son handicap dans l’émission Hot Ones sur Canal+. Auprès de Kyan Khojandi, l’acteur avait aussi fait des révélations sur son rôle de papa. Être père avec son handicap est loin d’être facile
Il soutient les grévistes
Jamel Debbouze fait en ce moment la promotion de son film Le nouveau jouet. Ainsi, il fait le tour de plusieurs médias et cette fois il était convié sur Canal+. Ce lundi 17 octobre dernier, Jamel Debbouze était sur Quotidien. Effectivement, le père de famille a donné son avis sur les grèves des employés de raffineries. À première vue, l’acteur offre son soutien à ces grévistes.
« Dans les années 1970, ou encore à l’époque où j’étais en mesure de comprendre, quand j’étais à Trappes, il y avait une vraie misère. Mais j’ai le sentiment qu’elle est plus profonde aujourd’hui. On a l’impression qu’il y a des gens qui sont de plus en plus riches et on a le sentiment qu’il y a un manque de considération. (…) Quand on voit les profits d’une entreprise comme Total, quand on voit afficher ses profits, on se dit que c’est naturel de partager. On est tous vraiment vénère de faire la queue, mais on comprend aussi la situation de ces salariés et on est de tout cœur avec eux. On est le cul entre deux chaises, mais on est solidaires », déclare Mélissa Theuriau. Très récemment, c’est sur Hot Ones que Jamel Debbouze avait mis en avant son handicap. De plus, il avait parlé de son rôle de père.
Jamel Debbouze relate une anecdote sur son handicap et le changement de couche
Jamel Debbouze avait été aussi convié sur dans le programme Hot Ones de Kyan Khojandi sur Canal+. En effet, l’animateur et l’humoriste ont goûté à des nuggets de poulet avec des sauces piquantes…Lors de cette séquence, les invités présentent fréquemment de drôles de réactions. Toutefois, pour Jamel Debbouze, cela a fini avec des confidences sur son handicap et son rôle de papa.
Le changement de couche de son fils n’était notamment pas une partie de pla*s*r pour le comique. « C’est très compliqué de changer les couches pour moi, parce qu’il ne faut pas oublier, Kyan, je ne peux pas bouger le bras. Donc j’essayais de caler le petit contre le mur, pour ne pas trop qu’il bouge. Mais ça faisait trois mois, il ne fallait pas trop que je lui compresse la tête. Une fois qu’il ne bougeait plus, je lève les pieds et là il faut retirer la couche. Et donc il faut que je retire la couche avec mes dents, je n’ai pas le choix ! » avait-il déclaré. Cette anecdote de Jamel Debbouze sur son handicap a touché plus d’un.