Face aux menaces de la Russie contre l’Europe, l’État français anticipe et dévoile des aides destinées à baisser l’inflation.
Emmanuel Macron rassure
Le conflit entre la Russie et l’Ukraine n’est pas sans conséquence pour l’Europe. Il faut dire que le monde entier tremble face aux menaces de Vladmir Poutine. Depuis le début de l’invasion, Emmanuel Macron est intervenu deux fois. Lors de sa première prise de parole, il souligne qu’en tant que président de la Communauté européenne il fait tout à son pouvoir pour négocier. Par la suite, il a tenu à rassurer la population. Le Président de la République est unanime : nous ne subirons pas les conséquences de cette guerre. Et pour ceux qui craignent que cela ait un impact sur leur budget et leur pouvoir d’achat, il affirme que les ministres travaillent déjà sur des solutions comme le «chèque inflation ». On fait le point pour vous.
« Face à ces conséquences économiques et sociales, je n’ai et n’aurai qu’une boussole : vous protéger », précise Emmanuel Macron. Une phrase qui n’a laissé personne indifférente. Le chef d’État déclare d’ailleurs avoir demandé à ses équipes de préparer « un plan de résilience ». Pour sa part, Jean Castex assure que tout est prêt afin de « protéger nos concitoyens et l’économie française ». Mais de quel plan le gouvernement parle-t-il ? Grâce à nos confrères, on a pu définir ces projets pour contrecarrer l’inflation.
Des pistes intéressantes pour réduire l’inflation
Bien qu’elle soit loin, de faire l’unanimité, le « chèque inflation » de 100 euros a vraiment aidé les foyers modestes. Cette indemnité est octroyée à ceux qui ont un revenu inférieur à 2000 euros. Selon les rumeurs, face à l’inflation, un second chèque débarque avant l’été. Pour cela, il faut être aux aguets.
Quant à l’essence, elle est au cœur de la polémique depuis quelque temps. Ce n’est plus un secret pour personne, le prix du carburant atteint le pic et pulvérise tous les records du temps. Ainsi, la note à la station de service donne des vertiges. Qu’à cela ne tienne, l’État pourrait sans doute envisager de réduire les taxes. Un petit effort sur la TICPE et la TVA fera du bien aux citoyens, notamment à leurs budgets.
Face à l’inflation, depuis 2019, certaines régions se détachent du lot. En effet, mis en place jusqu’en janvier 2022, le « ticket mobilité » permet de bénéficier d’une réduction de 30 euros par mois sur son plein de carburant. Il faut avouer que suivre cet exemple en s’inspirant du chèque restaurant permettrait de donner du souffle à tout le monde.
Enfin, le bouclier tarifaire devrait aussi faire partie du plan de résilience du gouvernement. On espère que les fournisseurs d’énergie tiennent leurs promesses d’ici la fin 2022. Dans le cas où le prix du gaz et de l’électricité flambe encore, une révolte risque de se mettre en place dans toute la France. Et le moins que l’on peut dire, c’est la dernière chose que l’on a besoin en ce temps difficile.