Un allocataire du RSA roule dans une voiture de luxe et a vu sa vie s’écrouler devant ses yeux. Il conduisait à 178 km/h au lieu de 110 et a été interpellé par la police. L’homme a donc été condamné à dix mois de prison avec sursis. Il a aussi écopé de 300 euros d’amende pour vitesse et conduite sous influence de la drogue.
Fraude : un allocataire RSA roule avec une voiture de luxe
Un allocataire du RSA roule dans une voiture de luxe et été interpellé par les forces de l’ordre. En effet, il conduisait à 178 km/h sur la Route bleue, en Loire-Atlantique et a été contrôlé au niveau de Guérande. C’était sur l’embranchement de La Baule-centre. Ainsi, il affirme avoir oublié de donner un médicament à son chien. Mais ce n’était que des excuses car l’homme en question était sous l’emprise de la drogue d’après des analyses toxicologiques. Il y avait aussi des traces de cocaïne chez cet homme.
D’ailleurs, lors de sa comparution au tribunal le lundi 14 août dernier, il avait promis de ne plus recommencer. Notant tout de même que cette allocataire du RSA roule dans une voiture de luxe a récupéré son permis en février dernier. Mais il semblerait que ce n’est pas la première fois, il a déjà récidivé. Concernant son Porsche Cayenne, il affirme que c’est un cadeau de sa mère il y a deux ans de cela. En plus, c’est elle qui prend en charge de l’entretien du véhicule.
Une lourde peine
Cet allocataire du RSA qui roule dans une voiture de luxe confie que lui et sa compagne vivent encore avec sa mère. Effectivement, vu que se paroles étaient loin d’être convainquant et la procureure décide de lui confisquer sa Porsche Cayenne. Malgré une bonne défense de son avocate, l’homme a été condamné à dix mois de prison avec un sursis probatoire de deux ans. Il a aussi eu droit à un travail d’intérêt général de 105 h et une amende de 300 euros. Malheureusement, cet homme encoure aussi une annulation de son permis de conduire et ne pourra le repasser avant six mois. À première vue, il avait aussi fait une fraude à la CAF. Ces dernières années, l’Etat lutte grandement contre ce phénomène.