Michel Barnier veut apporter plusieurs changements dans la vie des Français. Le nouveau premier ministre veut mettre en place une hausse des impôts. Mais qui sera la victime de cette décision ?
Vers une hausse des impôts : à quoi s’attendre ?
Les caisses de l’État sont en effet vides. À peine arrivé à Matignon, le nouveau Premier ministre est interpellé sur la question. Une seule issue semble alors raisonnable : une augmentation de la fiscalité. Évidemment, toutes les nationalités concernées ? Tous les Français devront-ils nécessairement mettre la main à la poche ?
Selon les projets de Michel Barnier, cette hausse des impôts sera concentrée sur les plus riches. Cela conduirait à ce que « si on appliquait cette mesure… cette année, elle frapperait les 10 % de Français qui gagnent plus de 6860euros par mois », en gelant pour la première fois les tranches à 41 et 45 % et en les empêchant de s’ajuster normalement avec l’inflation.
Les taxes en ligne de mire
Au-delà de cette hausse potentielle de l’impôt sur le revenu, une autre augmentation est envisagée. Il s’agit de la TICFE, une taxe sur le mécanisme de consommation électrique, qui a été abaissé temporairement à 1 euro suite à la crise énergétique. Le montant révisé peut devenir de 32 euros en 2025, ce qui semble être assez énorme. En plus de permettre de réduire le coût de la production énergétique, il n’est pas clair pour qui ce coût baissera, mais il augmentera certainement le montant présenté sur la facture d’électricité. Cependant, il y aura des annulations comme le non-route, le kérosène et le carburant maritime. En plus, il y aura aussi des changements su coté des entreprises. Une hausse du taux d’imposition pourrait avoir lieu. Michel Barnier veut redresser le compte de l’Etat.
De nouvelles taxes à l’horizon ?
Enfin, une autre option vérifiée était la taxation des surprofits de certaines entreprises. À cette fin, de la part de 2024, une taxe sur les bénéfices nets a été présentée pour les sociétés concessionnaires de l’électricité et du gaz. Selon , Barnier parvient à exprimer l’expiration de la possibilité pour les affaires de l’éducation physique et des affaires de l’électricité et du gaz de 4,6% pour les bénéfices excédant 120 millions d’euros. Ces modifications fiscales ne sont pas définitives; cependant, elles montrent clairement que, pour la France, une époque se produit dans laquelle les taxes augmentent inévitablement. Les finances publiques sont malades. Et le peuple et les entreprises peuvent se préparer à des traits vierges au cours des prochaines années.