Faustine Bollaert serait traumatisée par un divorce fracassant. Sa famille a eu du mal à accepter cette rupture brutale. L’animatrice en parle lors d’une interview.
Faustine Bollaert : comment elle a vécu ce divorce ?
Faustine Bollaert file le parfait amour avec l’écrivain Maxime Chattam, le père de ses enfants. D’ailleurs, le 1er septembre dernier, ils ont célébré leur 10e anniversaire de mariage. Dans les colonnes de France Dimanche dans son numéro daté du 21 octobre, l’animatrice est à l’honneur. L’article rapporte un divorce que Faustine Bollaert a évoqué elle-même. Même si l’animatrice de France Télévisions évoque le sujet d’un divorce, ce ne serait pas le sien. Elle parle concrètement d’un traumatisme et d’une blessure secrète liée à sa mère. En effet, sa mère a divorcé dans les années 80. De plus, l’animatrice de Ça commence aujourd’hui, le rendez-vous confidence de France 2 en a parlé également lors d’une interview avec Nous Deux.
Elle se livre à cœur ouvert
Lors de son entretien, Faustine Bollaert passe aux confidences concernant les dures épreuves qu’elle a traversées dans sa vie. Surtout celle qui a touché de près sa maman. « Ma mère a vécu Mai 68 et a embrassé cette liberté de bon cœur », a-t-elle avoué. Ensuite, elle a félicité le courage de sa mère d’avoir divorcé de son père dans les années 80. Et même si à cette époque emprunter ce chemin reste très difficile. En effet, dans sa jeunesse, la séparation était très mal perçue. Et cela même au sein de sa propre famille qui a critiqué sa mère à cause de son choix. De ce fait, la mère de Faustine Bollaert s’était sentie exclue de la famille et même de la société en raison de son statut de divorcée. Mais Faustine Bollaert a salué l’audace de sa mère lors de ce divorce.
Un autre élément touche l’animatrice de Ça commence aujourd’hui. En revanche, ce ne serait pas le seul sujet qui a choqué Faustine Bollaert. La mère de deux enfants, Abbie, 9 ans, et Peter, 7 ans, a découvert un autre élément qui est celui qui a marqué les années 70. Apparemment, en ces temps-là, l’adultère était passible d’une peine de prison pour les femmes. Par contre, pour les hommes, ils ne recevaient qu’une simple amende. En plus, un divorce était inimaginable à cette époque selon Faustine Bollaert.