Le 13 février 2023, dans Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert recueille les confidences d’Elodie et Jean-Charles dont la fille a été conçue par mère porteuse et est née en pleine guerre en Ukraine.
Une confidence choc sur France 2
Depuis 2017, Faustine Bollaert est aux commandes de l’émission Ça commence aujourd’hui sur France 2. Dans celle-ci, elle reçoit des invités qui sont venus témoigner de leur histoire qui est rarement joyeuse. Et étant maman, lorsque les sujets touchent les enfants, la journaliste est toujours prise par l’émotion. C’est notamment le cas dans l’édition du programme du 13 février 2023.
Pour ce numéro de Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert a accueilli Elodie et Jean-Charles dont la fille a été conçue par mère porteuse. Mais pas que. L’enfant a vu le jour en pleine guerre en Ukraine. Prénommée Nastia, la petite fille est née à Kiev en juillet 2022 en pleine guerre. « Une histoire très touchante, et un peu de douceur au milieu du chaos », peut-on lire sur le Twitter de l’émission où les confidences du couple ont été partagées.
Évidemment, l’histoire a suscité des vagues de réaction sur le réseau social. Autant dire qu’elles ne sont pas toujours bienveillantes. « Comment est-ce possible de choisir le sexe de son enfant lors d’une GP », se demande un internaute. Tandis qu’un autre a écrit : « Un enfant vendu et ils viennent nous expliquer leur stress sous les bombes ? ».
Faustine Bollaert émue face à l’enfant né d’une mère porteuse
Face aux témoignages des parents de la petite fille conçue par mère porteuse, Faustine Bollaert n’a pas pu contenir son émotion. Il faut dire que cette sensibilité de la journaliste de 42 ans contribue largement au succès de son programme.
Le même jour, lors d’une interview accordée à Télé 7 jours, elle se confie sur le sujet. « Le succès de l’émission m’a sécurisée, m’a fait aussi profondément du bien. J’y ai gagné une forme de confiance, de sérénité, parce que je me sens vraiment à ma place », explique la maman de deux enfants. Avant de souligner : « Et paradoxalement, cela m’a aussi fragilisée. Je ne peux pas entendre tous ces témoignages sans qu’à un moment cela ait des conséquences sur moi. Je me sens plus inquiète de la vie, en général ».