Face aux journalistes de Paris Match, Estelle Lefébure évoque la relation fusionnelle qu’elle a partagée avec David Hallyday.
Estelle Lefébure et David Hallyday, « un coup de foudre »
Estelle Lefébure revient sur son idylle avec David Hallyday au micro de Paris Match. Rappelons que le couple a été marié de 1989 à 2001. Durant cet interview, l’ex-reine de podium s’est confiée sur « le coup de foudre » qu’elle a eu avec le fils du rockeur. « Avec David, on a eu un coup de foudre. Un truc qu’on ne vit qu’une fois », relate celle qui va bientôt faire ses premiers pas au théâtre aux côtés de Matt Pokora et Philippe Lellouche. La maman d’Ilona et Emma Smet affirme que pendant leurs 12 ans de mariage, ils « étai (en) t tellement proches, autant physiquement que mentalement ».
Mais Estelle Lefébure jouissait d’un détail précis sur sa relation avec David Hallyday. Il s’agit de leur vie professionnelle qui était semblable. L’actrice de 55 ans se rappelle : « On évoluait dans la même sphère professionnelle ». En effet, pour elle, le père de ses deux enfants était son « alter ego ». Très fusionnel, le couple interpellait toujours certaines personnes. « Aux États-Unis, on nous prenait pour frère et sœur tellement on se ressemblait », confie la mère de famille. Malheureusement, leur belle idylle prend fin après 12 ans de vie commune.
« Il est inégalable »
Après leur divorce, le couple a refait leur vie chacun de leur côté. Pour sa part, David Hallyday s’est entiché de la riche héritière monégasque, Alexandra Pastor. Estelle Lefébure, quant à elle, a retrouvé l’amour dans les bras du célèbre animateur de TF1, Arthur. Seulement, elle reconnait qu’elle est « passée à l’opposé » en vivant une histoire avec le présentateur de Vendredi, tout est permis avec Arthur. Cependant, elle ne donne pas plus d’explication sur le sujet. En tout cas, son homme « idéal », c’était son père. Ce dernier était « blond, les yeux bleus, grand, nordique, (avec) une belle voix grave ». Pour l’ex-mannequin, son paternel est unique. « Impossible, il est inégalable », lance-t-elle.