Depuis des années maintenant, Denis Brogniart anime l’émission d’aventure Koh-Lanta. Bien évidemment, pour faire le tournage des séquences du programme, le présentateur de TF1 doit s’absenter pour de long moment. Comment, Denis Brogniart fait face à cet éloignement vis-à-vis des siens ?
Des tournages difficiles
« Koh Lanta All-Stars » avait pris fin il y a deux mois de cela. Cependant, les fans de Koh-Lanta ont déjà renoué avec une nouvelle saison ce mardi 22 février dernier. Une édition intitulée « Koh-Lanta et Le Totem Maudit ». Samedi dernier, l’animateur du jeu d’aventure, Denis Brogniart, a accordé un entretien auprès de RFM. Ainsi, il a été interrogé sur les longues semaines de tournage, durant lesquelles il ne peut voir sa famille. « Une émission, c’est 40 jours. Donc le tournage dure 40 jours pour nous […] Moi j’arrive cinq jours avant et je repars quatre jours après. Globalement, c’est 50 jours », avait affirmé Denis Brogniart.
Koh-Lanta, une longue séparation très instructive pour Denis Brogniart
Durant ces 50 jours de tournage de Koh-Lanta loin de la France, Denis Brogniart est bien loin des siens. L’animateur est surtout loin de son épouse Hortense et leurs trois enfants, Blanche (12 ans), Violette et Lili (des jumelles de 14 ans). Il ne peut pas revenir au pays pour les voir, ni même pour son fils Dimitri, 19 ans, né d’une précédente relation. Une longue séparation que tous les membres de cette famille vivent assez bien.
« Mes enfants sont nés, je faisais déjà Koh-Lanta [..] En Polynésie, on avait douze heures de décalage horaire. Moi, je prenais mon petit-déjeuner, et eux leur dîner. On a à la maison une caméra avec un grand-angle, ce qui permet à toute la famille de manger ensemble » avait confié Denis Brogniart concernant la séparation avec sa famille pendant les tournages de Koh-Lanta. Des rendez-vous par vidéo qui permettent à la famille d’être ensemble sans l’être vraiment. De plus, cet éloignement leur est instructif : « Quand on est loin, on parle plus. Et on a parfois des conversations et des réflexions plus profondes. On enlève le superflu et ça a du bon », avait-il terminé ses propos.