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Cette crèche augmente le QI des enfants de 70%
Cette bulle musicale associe images et sons. Le but est de permettre aux enfants de mieux assimiler les nouveaux mots. Et cela favorise l’apprentissage des langues étrangères. La créatrice tient à apprendre la tolérance dès le plus jeune âge. Cette fameuse crèche qui augmente le QI des enfants de 70% se situe à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). La bulle musicale est très complète. En effet, elle offre un large choix de cris d’animaux, de musiques et de sons du quotidien. En plus, le tout est accompagné d’un imagier numérique pour faciliter l’exercice. Et sachez que la bulle fait voyager dans d’autres pays pour la découverte. « Tous les mois, les enfants apprennent une chanson d’un pays étranger. Le but c’est de s’approprier des sonorités qu’ils n’entendent pas au quotidien. Le cerveau va mettre en mémoire ces fréquences pour les utiliser plus tard dans l’apprentissage des langues étrangères », explique Ruth Jornod.
La découverte d’autres pays est accompagnée de découvertes culturelles. « Quand on fait l’Egypte, on leur fait toucher du sable », complète Claudia Kespy-Yahi, la fondatrice de ces crèches innovantes. Et les résultats sont là ! En effet, cette crèche augmente le QI des enfants de 70%. Plus exactement, le niveau du langage est de 17 au lieu de 10 pour les enfants lambda. Au total, l’expérience a fait ressortir un vocabulaire plus riche, des capacités logiques améliorées et une meilleure concentration. « Ils vont rattraper le retard qu’ils auraient eu s’ils étaient restés dans leur environnement classique, grâce à la bulle et surtout aux interactions qu’elle suscite. C’est une façon de lutter contre le déterminisme social », se félicite Claudia Kespy-Yahi.
De multiples avantages
Cette crèche augmente le QI des enfants de 70%. Mais pas que ! En effet, la bulle musicale présente beaucoup d’avantages. « J’ai découvert le monde des crèches, que j’ai trouvé pas très gai. J’apportais des CD de musique pour amener de la joie de vivre », se souvient la créatrice. Elle parle ensuite de l’oreille universelle. «Nous naissons avec une oreille universelle à la naissance ». « Mais cela se restreint très vite, à 6 mois l’enfant se spécialise, et à 18 mois il y a déjà des différences entre des enfants issus de milieux pauvres au niveau sonore et les autres », observe-t-elle. C’est ce constat qui l’amène à travailler, après un Master of Business Administration (MBA), sur sa bulle musicale. Au départ, la production était artisanale. Ensuite, la fabrication industrielle a commencé. Maintenant, le dispositif s’exporte partout dans le monde.