Découverte abominable dans l’appartement d’une schizophrène, c’est le choc !

Découverte abominable dans l’appartement d’une schizophrène, c’est le choc !

Le 16 novembre 2021, une découverte avait été fait dans un appartement d’un schizophrène. Bien évidemment, ce que les policiers y ont vu, ils ne sont pas prêts de les oublier.

Une schizophrène ne donne plus signe de vie

La schizophrénie est une maladie d’ordre mental qui montre plusieurs stades.  Toutefois, les malades peuvent vivre seul dans le cas où ils ont juste besoin de traitements. Néanmoins, certains d’entre eux ne sont pas autonomes et doivent bénéficier d’un suivi bien spécifique. Cette jeune femme qui vit à Londres fait partie de ce dernier cas. Vraisemblablement, elle prenait un traitement à vie pour la schizophrénie.

À la mi-novembre, une soignante s’est aperçu que Sofia ne vient plus au cabinet et ne donne plus de nouvelles. Ainsi, la soignante fait le choix de joindre sa famille mais eux non plus n’a pas de nouvelle. Puis, elle décide de faire appel à la police afin de trouver Sofia. Les policiers se sont rendus au domicile de la jeune femme. Cependant, la découverte qu’ils ont faite dans l’appartement de la schizophrène reste gravé dans la mémoire des policiers.

La découverte dans l’appartement de la schizophrène

Les policiers savaient qu’ils allaient faire différentes découvertes dans l’appartement de cette jeune femme schizophrène. De plus ils s’attendaient aussi à retrouver Sofia dans un état anormal. Une fois qu’ils ont ouvert l’appartement, une odeur nauséabonde s’y échappe. Apparemment, c’était vraiment irrespirable. En avançant, les policiers ont compris d’où venait cette odeur insupportable.

En effet, la découverte qu’ils ont faite dans l’appartement de la schizophrène n’est autre que le corps inanimé de Sofia. Cette dernière était “allongée sur le dos dans une chemise de nuit blanche”.  Selon le tribunal correctionnel d’East London, la jeune femme est morte car elle ne prenait plus son traitement depuis au moins un mois et demi. De plus, elle n’a plus eu d’allocation d’autonomie depuis février.  Par conséquent, Sofia a vécu huit mois sans la moindre ressource.  À première vue, elle a fini ses jours dans des conditions vraiment horribles.

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