Lors d’une interview auprès de Paris Match, Sylvie Vartan a évoqué la bataille de succession de Johnny Hallyday. L’occasion pour la chanteuse d’évoquer les nombreuses polémiques dont elle a fait objet après avoir pris la défense de son fils David Hallyday.
Sylvie Vartan au cœur d’une énorme polémique pour avoir défendre David Hallyday
Pour la promotion de sa série de concerts à Paris, Sylvie Vartan a accordé une interview auprès de « Paris Match ». Durant laquelle, elle n’a pas échappé à une question concernant la guerre de succession de Johnny Hallyday. Rappelons que cette bataille a duré plus de deux ans et est devenue très médiatisée. Pire, elle a divisé le clan Hallyday. Malgré qu’un accord a été signé entre les héritiers du Taulier, les conflits entre eux persistent. D’ailleurs, l’absence de David Hallyday et Laura Smet au concert hommage de leur père en dit long.
Pour sa part, la chanteuse émérite a répondu : « Que puis-je dire qui n’a pas été dit, comment et détourné ? ». Avant d’affirmer : « ça a été infernal, insupportable et surtout impensable ».
Encore très touchée par ce sujet, Sylvie Vartan tenait à souligner : « De ma vie, je n’avais jamais imaginé que j’aurais à faire une telle chose : aller à la télévision pour la défense de mon fils. Jamais ». Effectivement, la maman de Darina Scooti semble avoir encore de l’amertume envers Laeticia Hallyday.
« Je ne le referais pas »
Lors de cet entretien, la chanteuse a également tenu à répondre aux détracteurs qui lui ont critiqué de soigner sa peine en public. Effectivement des polémiques qui ont vu le jour après une série de concerts où elle reprenait les morceaux de Johnny Hallyday. Elle a confié : « Ces concerts m’ont fait du bien. Ceux qui critiquent ne savent pas de quoi ils parlent ! Le contact avec le public aide toujours ». Elle précise d’ailleurs qu’avec le rockeur, ils ont passé leur « vie à chanter ensemble » et à « aimer les mêmes choses ».
Très émue, Sylvie Vartan lance : « C’était le moins que l’on puisse dire ». Elle affirme ainsi que tout cela lui a « juste fait du bien ». Avant de conclure : « Mais je ne le referais pas ».