Charlène de Monaco : ses jumeaux débarrassés d’une relation nocive, révélations d’un spécialiste
Le magazine Ici Paris vient de publier que Charlène de Monaco entretenaient une relation toxique avec ses jumeaux. Chose qui a pris fin grâce à la longue absence de Charlène de Monaco du Rocher. En effet, la première dame est restée coincer en Afrique du Sud depuis mars dernier à cause de son infection ORL.
Charlène de Monaco, ses jumeaux sur la route de la guérison
Charlène de Monaco avait parlé de cette relation assez particulière qu’elle avait avec Gabriella et Jacques Grimaldi. En effet, il s’agit du Co-dodo. En réalité, selon la première dame du Rocher, Jacques et Gabriella viennent dormir dans son lit quand leur père est absent. Notant que vu ses nombreux devoirs, le Prince Albert II part souvent en déplacement. En réalité, selon le magazine Ici Paris, cette pratique a eu des conséquences sur l’autonomie de Jacques et de Gabriella. Effectivement, ce genre de chose pourrait créer sur le long terme une sorte de surprotection et développerait une forme de dépendance affective.
« Le Co-dodo renforce la fusion entre la mère et l’enfant. Donc cela n’encourage pas que la séparation soit nécessaire et en même temps exclue le père », avait affirmé un pédiatre. Bien évidemment, cette longue absence de Charlène de Monaco détache les héritiers du trône monégasque de cette relation toxique avec leur mère.
Bientôt de retour
Malgré que Charlène de Monaco soit encore en Afrique du Sud, la princesse continue d’être en contact avec ses jumeaux. Effectivement, la femme du Prince Albert sera probablement de retour dans le Rocher fin octobre. Or très récemment, le souverain monégasque et ses jumeaux ont rendu visite à la mère en Afrique du Sud. C’était avant fin aout, tout juste avant la rentrée.
Ainsi, après ce long séjour dans son pays natal, Charlène de Monaco s’apprête enfin à revenir auprès des siens. « Elle est prête à faire son grand retour à la maison », avait affirmé le Prince Albert auprès du magazine people. « Elle a dit en plaisantant qu’elle était même prête à voyager en bateau pour revenir en Europe », poursuit-il.