La princesse Charlène de Monaco est coincée en Afrique du Sud depuis des mois. Et viennent se rajouter à ses soucis de santé, un revers cinglant. Sa grande rivale, la princesse Caroline de Monaco la remplace au Palais.
Nouvelle première dame au Palais
Le magazine Allemand Freizeit Heute explique la situation actuelle de la princesse Charlène de Monaco. Comme l’épouse du Prince Albert II de Monaco est bloquée dans son pays d’enfance depuis plusieurs mois, une nouvelle première dame occupe les lieux sur le Rocher. Il s’agit de nul autre que la sœur ainée du souverain, la princesse Caroline de Monaco.
Caroline de Monaco aurait repris avec évidence cette statue. D’ailleurs, elle l’a occupée aussi depuis le décès de son illustre mère, la princesse Grace Kelly. Bien évidemment, Charlène de Monaco n’a pas été la bienvenue pour lui prendre cette place.
Défaite amère vue de loin par Charlène de Monaco
Le magazine regrette « un mépris de classe ». En effet, il affirme que Charlène de Monaco ne s’exprime pas bien en Français. Alors que c’est la langue officielle de Monaco. Un détail qui n’a pas été bien vu par les monégasques. Du reste, l’ancienne championne de natation a étudié à l’université de Pretoria. Les cours y sont donnés seulement en Afrikaans. De ce fait, l’anglais de la nouvelle première dame de l’époque était peu académique.
Mais surtout, les colonnes du magazine indiquent : « C’est un secret de polichinelle que la sœur et la femme du Prince Albert (63 ans) ne s’entendent pas, et cela, depuis l’entrée de Charlène de Monaco dans la famille princière… Il n’est donc pas étonnant que la princesse Charlène lutte toujours au sein du clan Grimaldi pour s’imposer. Sa place est toujours fragile ». Le magazine continue en précisant que la maman de Charlotte Casiraghi prend non « seulement du galon en tant que représentante de la famille — mais aussi en tant que mère de substitution aimante pour les héritiers du trône ». Un message codé serait même transmis à la maman de Jacques et Gabriella : « Charlène, reste où tu es, on n’a pas besoin de toi ici ».