À son entrée dans la famille princière monégasque, la pression était énorme pour Charlène de Monaco. En effet, l’ex-nageuse a perdu confiance en elle à cause de la pression pour donner un héritier à la couronne monégasque. D’ailleurs, certaines allégations ont même prétendu qu’elle était stérile.
Charlène de Monaco stérile ?
L’intégration de Charlène de Monaco au sein de la famille princière monégasque était loin de se passer comme prévu. Si elle était convaincue de vivre un conte de fées en se mariant avec le Prince Albert, le revers de la médaille était tout autre. En effet, dès son entrée dans la famille princière, l’ex-nageuse a subi une énorme pression, celle de donner un héritier à la couronne monégasque. À l’époque, certaines rumeurs ont même prétendu que Charlène de Monaco était stérile.
Pour sa part, Coryne Hall, une observatrice avisée des familles royales européennes a décidé d’exhumer cette affaire. Cette dernière a écrit « La reine Victoria et les Romanov : soixante ans de méfiance mutuelle ». Lors d’une interview accordée au média britannique « The Express », l’experte a fait des confidences sur Charlène de Monaco notamment sur cette énorme pression.
Une énorme pression insupportable pour la princesse
Selon cette spécialiste, la princesse avait du mal à supporter la pression liée aux besoins de la famille princière de donner naissance à un futur héritier. « Elle subissait une pression énorme pour “produire” un héritier », lance-t-elle. Avant de souligner : « Elle a mis trois ans et demi avant d’avoir un enfant. Puis heureusement, elle en a eu deux ».
Dans la publication du magazine, on pouvait lire : « La princesse Grace a donné naissance à son premier enfant neuf mois après le mariage avec le prince Rainier ». Avant d’expliquer : « Alors tout de suite, après le mariage de Charlène, tout le monde a demandé “Est-elle déjà enceinte ?” ».
Fort heureusement, Charlène de Monaco a donné naissance à des jumeaux, Jacques et Gabriella, en 2014. Coryne Hall conclut : « À l’époque, les rumeurs sur son infertilité se faisaient de plus en plus insistantes. Ça a dû lui mettre un gros coup de pression sur le dos ».