Charlène de Monaco, dégâts psychologiques, opération ratée, la vérité sur son isolement

Charlène de Monaco, dégâts psychologiques, opération ratée, la vérité sur son isolement

D’après les dernières nouvelles, l’isolement de Charlène de Monaco en Afrique du Sud serait à cause d’une opération ratée. Cependant, il ne s’agit pas d’un lifting ou d’une intervention de paupières ratée selon les rumeurs. On vous donne les détails à travers l’article.

Charlène de Monaco, une opération ratée

Depuis quelque temps, les rumeurs sur les causes de l’isolement de Charlène de Monaco en Afrique du Sud font rage. Selon certaines allégations, la princesse est restée bloquée dans son pays ancestral à cause d’une opération ratée. Si certaines avaient avancé un lifting et une intervention de paupières ratées, il n’en est rien.

Selon une amie proche de l’ex-nageuse auprès du magazine Elle, elle voulait se refaire les dents. Dans ses lignes, l’hebdomadaire indique : « Le sujet est si peu tabou sur le Rocher qu’en apprenant ses mésaventures en Afrique du Sud, beaucoup ont affirmé qu’il s’agissait d’un problème de lifting raté ». Cependant, cette amie proche couverte sous anonymat de l’épouse du Prince Albert II refuse de donner plus de détails sur le sujet. Toutefois, elle a affirmé qu’il ne s’agit pas d’un lifting raté.

Victime de dégâts psychologiques

Lors de son interview accordée à Elle, elle a confié : « Non. Pas un lifting. Ce sont ses dents, qu’elle a voulu faire refaire ». De ce fait, le magazine a décidé de mener l’enquête.

Effectivement, même si des gens possèdent des informations sur cette opération de Charlène de Monaco, ils n’osent pas en parler. Pour cause, la peur du Palais qui pourrait punir. De ce fait, leurs carrières pourraient être compromises.

Dans sa publication le magazine indique : « A ce stade de l’enquête, notre compassion pour la princesse Charlène grimpe encore d’un cran ». Avant de poursuivre : « Et l’on commence à comprendre les dégâts psychologiques que tant d’avis péremptoires sur un corps considéré comme un bien public peuvent occasionner ».

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