Charlène de Monaco : ce doux message à sa belle-sœur Caroline émeut tout le monde, la guerre est terminée!
Rappelons que la relation entre Charlène et Caroline de Monaco était loin d’être au beau fixe. Alors qu’aujourd’hui, cela semble s’apaiser. En effet, l’ex-nageuse est restée coincer en Afrique du Sud, son pays ancestral, à cause de ses problèmes de santé. Son infection ORL l’a contrainte à ne pas voyager et ne pas rentrer au Rocher. Pour cela, c’est sa belle-sœur qui s’occupe de ses jumeaux
Charlène plus reconnaissante que jamais envers Caroline de Monaco
Charlène de Monaco est vraiment contente que la sœur de son mari, Caroline de Monaco, s’occupe si bien de Jacques et Gabriella. Notant que ces derniers sont les héritiers du trône monégasque. En effet, la fille ainée de Grace Kelly a vraiment apporté un soutien indéfectible pour cette petite famille qui doit vivre un éloignement. Ainsi la princesse a dû consoler la jumelle de Jacques après sa fracture.
À cause de tout ce dévouement, Charlène de Monaco II tenait à remercier sa belle-sœur, Caroline de Monaco. Un remerciement qu’elle avait fait via un post sur Instagram. En réalité, sur cette publication, il y avait un gros cœur rouge synonyme de passion. Sans oublier, les mains jointes pour faire révérence à son immense gratitude. D’ailleurs à son retour sur le Rocher, il semblerait bien que la relation entre les deux femmes aille fortement changer.
Des allégations montées de toute pièce
Cet été, l’hebdomadaire Voici avait fait circuler une rumeur selon quoi, les deux princesses étaient au pied de guerre. « C’est Caroline qui gouverne le palais et elle est en colère. Elle accuse Charlène de mettre la principauté en danger » avait partagé le magazine people dans sa parution. Bien évidemment, ils ont aussi repris une publication de Paris Match.
Vraisemblablement, Charlène de Monaco avait peur de sa belle-sœur, Caroline de Monaco. « Ses regards glaçants apeurent vraiment Charlène. Comme si une petite voix lui murmurait ce que Caroline semble penser tous bas. You will never make it….. » pouvait-on lire dans cette parution.